PRENEZ POSITION 2017
__________________________________________
DESIGN DE SENSIBILISATION
DESIGN DE CRÉATIVITÉ ÉCOSOCIALE
LA VILLE COMME CANEVAS
DESIGN DE SENSIBILISATION
DESIGN DE CRÉATIVITÉ ÉCOSOCIALE
LA VILLE COMME CANEVAS
Chaque
année, dans le cadre du cours DES1210 Design : problématique, je convie les
étudiant(e)s de première année à cet exercice dirigé de design de
sensibilisation—design écosocial—design d'engagement, dans l'esprit de
différentes interventions/installations de type guérilla urbaine, ce qui, bien
qu'à plus petite échelle et suivant des paramètres légèrement différents, n'est
pas sans rappeler certaines interventions de l'ATSA, ou de projets en DESS
d'événement.
Appuyé par une réflexion, un suivi et des présentations issue du cours, il s'agit pour chaque équipe de sensibiliser à une réalité environnementale, sociale, culturelle ou politique, à notre environnement somme toute, en ayant la ville comme canevas d'exploration en tête. Cet exercice se veut à la fois un véhicule de questionnement, de réflexion et de design de créativité écosociale. Forme d'activisme de communication visuelle et spatiale, l'intervention, éphémère ou non, se doit d'être sans impact néfaste sur l’environnement, sans dégradation de ce dernier et nécessite un questionnement de l'approche, des matériaux, comme des choix sociaux.
Le cours vise à se sensibiliser soi-même d'abord, afin de pouvoir bien communiquer ces différentes problématiques. Ces projets de créativité engagée, visent à toucher, à témoigner, à informer. Ils sont souvent accompagnés d'une prise de conscience, de proposition de solutions, d'interaction voire, de mobilisation et semblent porter fruit chaque année. Le projet -Prenez Position- (inspiré d'un slogan Uqamien...) invite les étudiant(e)s à travailler en groupe, sur un sujet d'actualité préoccupant l’équipe.
À NOTER :
Les équipes sont responsables de l'orthographe et de la qualité des textes de leur projet.
Merci aux membres de l'atelier multitechnique de l'École pour l'aide qu'ils apportent aux équipes de même qu'à Sylvie Champoux qui nous aide à obtenir des autorisations au sein de l'UQAM.
__________________________________________
Groupe 10
équipe 1
EAU DE TOILETTE
ÉQUIPE
Rosalie Deschênes-Grégoire, Sandrine Bergeron
Béatrice Germain, Félix Langlois-Gauvin
Béatrice Germain, Félix Langlois-Gauvin
ÉVÉNEMENT—LIEU
Installation dans la salle de bain du pavillon de design de l’UQAM
LE PROJET, LA CONSOMMATION D’EAU
En lien avec la journée internationale de la toilette qui se déroule le 19 novembre 2017, l’installation Eau de Toilette avait pour objectif de sensibiliser les étudiants de l’UQAM à la surconsommation des eaux potables qu’une toilette standard use jour après jour. Pour bien comprendre l’enjeu, le projet se déroulait dans une salle de bain de l’UQAM, là où des dispositifs d’installations menaient à réflexions. Par la mise en place d’éléments en trois dimensions, des affiches informatives et des solutions, les cabines se présentaient sous trois différents modèles de toilettes, soit l’Européenne, la Japonaise et le trou. Ainsi, suite à son choix de cabine, l’étudiant était informé/ sensibilisé sur le modèle de toilette qu’il venait de choisir. Tout en gardant un visuel simple, mais accrocheur, l’installation avait comme but de mener les étudiants à une réflexion et des gestes qui pourraient faire une différence.
.
En lien avec la journée internationale de la toilette qui se déroule le 19 novembre 2017, l’installation Eau de Toilette avait pour objectif de sensibiliser les étudiants de l’UQAM à la surconsommation des eaux potables qu’une toilette standard use jour après jour. Pour bien comprendre l’enjeu, le projet se déroulait dans une salle de bain de l’UQAM, là où des dispositifs d’installations menaient à réflexions. Par la mise en place d’éléments en trois dimensions, des affiches informatives et des solutions, les cabines se présentaient sous trois différents modèles de toilettes, soit l’Européenne, la Japonaise et le trou. Ainsi, suite à son choix de cabine, l’étudiant était informé/ sensibilisé sur le modèle de toilette qu’il venait de choisir. Tout en gardant un visuel simple, mais accrocheur, l’installation avait comme but de mener les étudiants à une réflexion et des gestes qui pourraient faire une différence.
.
__________________________________________
équipe 2
équipe 2
AZO
ÉQUIPE
Julie Queyrens, Camille
Saint-Denis, Samuel Lauzon et Nicolas Favreau.
ÉVÉNEMENT—LIEU
Installation audio-visuelle de
sensibilisation sur les produits toxiques de l’industrie du textile.
Espace Diffusion, 3e étage, École de Design.
Espace Diffusion, 3e étage, École de Design.
Le projet AZO a pour objectif de
conscientiser les gens, principalement les étudiant(e)s, sur les impacts
environnementaux et sociaux des produits toxiques utilisés à toutes les étapes
de production d’un vêtement. Le nom AZO s’inspire directement des
colorants azoïques insolubles qui sont utilisés en teinturerie textile. Le
slogan “Pas juste des mots compliqués” insiste sur le fait que derrière le long
mot scientifique se cache un réel danger pour l’être humain et pour la planète.
Azo utilise le concept d’une
boutique éphémère fictive qui expose sa nouvelle collection 2017 au public. Les
pièces de vêtements usagés sont emballées sous-vide dans des sacs en plastique
recyclables. Ils trempent dans un sirop bleuté évoquant la grande quantité de
produits toxiques utilisés. L’aspect des sacs veut développer un sens critique
du consommateur. Dans l’objectif du concept d’une boutique, deux étiquettes
sont accrochées au sac par un bout de tissus, la première révèle le nom d’un
produit toxique et la seconde informe sur différentes conséquences ou des
pistes de solutions. Les sacs sont pendus à des cintres présentés sur des
portants.
Le garage a été choisi car c’est
un lieu de passage, d’autre part il possède des infrastructures nécessaires à
notre projet (rétro-projecteurs). Pour accompagner notre boutique éphémère, le
lieu était imprégné du son du film The True Cost, film documentaire créé par
Andrew Morgan dénonçant les pratiques de l’industrie de la mode. Le gif projeté
sur le grand écran et les jeux de lumières plongeaient les spectateurs dans
l’ambiance de notre marque.
__________________________________________
équipe 3
équipe 3
TRACES
ÉQUIPE
Mark Anthony Aguirre Oliva,
Chloé Biocca et Khaled Elmehairy
Chloé Biocca et Khaled Elmehairy
ÉVÉNEMENT—LIEU
Sanctuaire-installation sur
la pollution des rites funéraires modernes.
Situé sur le Mont-Royal.
la pollution des rites funéraires modernes.
Situé sur le Mont-Royal.
Traces est une installation qui invite à un moment de
recueillement et de réflexion, autant environnementale que personnelle, sur la
mort. Ce projet veut attirer l’attention sur la pollution causée par les rites
funéraires les plus communément utilisés d’aujourd’hui, tout en y proposant
multiples alternatives écologiques.
Située au cœur des sentiers du Mont Royal, dans la nature, cette
installation a pour intention de créer, de pair avec le lieu qui la reçoit, un
sanctuaire propice à l’introspection et à l’ouverture sur un sujet qui peut
s’avérer assez délicat.
L’endroit de diffusion, l’allure visuelle et les matériaux choisis
veulent établir une atmosphère sereine. Ces choix s’orientent vers le
minimalisme, la naturalité, l’accueil, l’espace et le silence.
De l’information sur les enjeux écologiques des rites funéraires
modernes ainsi que six pistes de solutions sont partagés avec le public, par le
biais de dépliants et d’échanges interpersonnels sur place. Une fois
sensibilisés, les gens sont invités à contribuer à l’installation, en y
ajoutant une pensée ou une inspiration au sujet de la mort. Celles-ci sont
écrites sur de petits cartons qui sont ensuite raccordés à l’installation.
Le tout permet de sensibiliser et inspirer,
en conscience de l’espace du public et parfois de créer un dialogue, à propos
d’un sujet sensible, qui nous touche tous et dont l’échange peut être très
bénéfique.
__________________________________________
équipe 4
MINUTES VIRTUELLES
ÉQUIPE
ÉQUIPE
Laura Charette, Andréanne Gagné
et Éloïse Simon
ÉVÉNEMENT—LIEU
Installation pour sensibiliser à
l’omniprésence des réseaux sociaux
Parc La Fontaine
L’OMNIPRÉSENCE DES RÉSEAUX SOCIAUX,
PRENDRE UN MOMENT POUR Y PENSER.
Notre projet s’inscrit dans le
cadre social et technologique de notre société. Il vise à informer sur un sujet
très familier : l’omniprésence des réseaux sociaux. La population n’a pas
forcément conscience de l’ampleur que ces derniers ont dans leur vie :
Facebook, Instagram, YouTube, Twitter font désormais partie intégrante de notre
quotidien. Un des aspects frappants de ce phénomène est le temps passé à
consulter ces réseaux, autant sur un téléphone intelligent qu’un ordinateur.
Effectivement, ce sont bien trop souvent des minutes, voire des heures de
perdues.
Le but de notre projet est d’établir un lien entre la « vie » sur les
réseaux sociaux et la réalité qui entoure les utilisateurs. Nous souhaitons
leur faire prendre conscience que ce temps passé à l’écran, aurait pu leur être
plus bénéfique ailleurs. À travers cette installation, nous invitions les
utilisateurs à observer une alternative plus concrète : prendre un moment pour
discuter, boire un café, voir un film entre amis et les faire réfléchir sur
leur utilisation. Pour les interpeller, nous avons joué avec le langage des
réseaux et l’avons appliqué dans le paysage pour marquer l’omniprésence. Ces
symboles se manifestent par des notifications, des alertes sonores et un
message d’information.
Les passants sont invités à
regarder au travers d’une fenêtre, symbolisant l’écran du téléphone intelligent
ou de l’ordinateur, afin de constater ce qu’ils pourraient être en train de
faire plutôt que de passer du temps sur les réseaux sociaux. L’installation
réalisée au parc La Fontaine, qui est le lieu tout indiqué pour prendre un
moment pour discuter, prend position sur l’omniprésence de Facebook. Nous avons
choisi ce lieu puisqu’il s’agit d’un grand espace vert, très passant, avec de
nombreux bancs propices à l’utilisation du téléphone intelligent. L’interaction
proposée était de faire un choix : passer 40 minutes sur Facebook, ou prendre
un moment pour discuter et se faire un nouvel ami. De plus, une fois assis sur
le banc, les utilisateurs étaient envahis par des notifications volant au vent
et les sons qu’elles émettent. Comme quoi, même lorsque l’on choisit de les
ignorer, les réseaux sociaux sont présents.
__________________________________________
équipe 5
équipe 5
C'EST TOI?
ÉQUIPE
Coralie Girouard, Olivier Simon, Simon Roy-Dubois, Stéphanie Savard
ÉVÉNEMENT—LIEU
Installation pour sensibiliser à nos modes de transport
Rue Ste-Catherine
Dans le cadre du cours de problématique, nous avons choisi d’aborder le sujet du transport en commun. Nous voulions sensibiliser les gens aux avantages de se déplacer par un tout autre moyen que la voiture. Pour ce faire, nous avons mis en place une installation temporaire qui comprend 5 boîtes. Lorsque les gens regardent dans les différentes boîtes, ils peuvent y lire des faits ludiques sur différents moyens de transport et ainsi porter un jugement sur leur façon de se déplacer.
Nous avons installé notre projet sur la rue Sainte-Catherine puisque les gens qui s’y promènent sont nombreux et sont venus à destination par des moyens variés. En effet, nos boîtes se retrouvent près de parcomètres, de stationnements pour vélos, d’une station de métro et d’un trottoir. De plus, notre installation nécessitait une rangée de 5 arbres pour y accrocher nos boîtes, ce que nous avons trouvés sans difficultés à cet endroit. La fabrication de nos boîtes a nécessité plusieurs tests pour obtenir un résultat à la fois attrayant et fonctionnel. Nous avons porté une attention particulière aux matériaux utilisés afin qu’elles soient entièrement recyclables puisqu’il s’agit d’une installation temporaire. Pour rendre notre projet plus interactif, nous avons créé un compte Instagram ainsi qu’un hashtag pour permettre aux participants de partager leur expérience. Nous trouvions cette alternative plus ludique et moins complexe que de faire voter les gens sur place. Le #cestmoi devient alors une réponse des participants qui peuvent partager leur expérience de transport.
__________________________________________
équipe 6
équipe 6
DiSPARITION : UNE PAR UNE
ÉQUIPE
Bolduc Sabrina, Brault Marie-Claude, You Lan.
ÉVÉNEMENT—LIEU
École de design, 3es et 2es étagesDisparition : Une par une est un projet ayant comme objectif de sensibiliser le public sur la disparition des abeilles. Les produits chimiques, les changements climatiques et la monoculture des champs causent plusieurs problèmes aux pollinisateurs. En fait, « Le sort de l’humanité est lié à celui des pollinisateurs. Et ce sont surtout des in-secte [sic], dont les abeilles. ». (Reeves H., s.d) Donc, si elles viennent à disparaitre une par une, l’être humain risque de disparaitre à son tour. Sous forme de métaphore, on invite le public à simuler la pollinisation en participant à l’échange des alvéoles. Ils doivent récupérer une alvéole problématique au 3e étage, pour ensuite, l’échanger contre une alvéole solution au 2e étage. Puis, on les invite à garder cette solution. Un geste simple qui permet de faire une différence.
D’une part, le lieu de l’installation a été choisi en fonction de la matérialité environnante et de la visibilité du lieu. D’autre part, il a été choisi grâce au lien visuel existant entre le 3e étage et le 2e étage puisque l’objectif du jeu est de retrouver la ruche pour y échanger une alvéole. Au début de l’évènement, il y avait un jeu de couleur inverser pour indiquer où placer l’alvéole choisi. Par contre, on s’est rendu compte que cela compliquait le jeu. Alors, on a changé les règles. Maintenant, ils ont la possibilité de mettre l’alvéole problématique à l’endroit désiré tout en gardant le texte visible pour éviter la confusion et qu’un participant se retrouve à garder une problématique.
Les matériaux ont été choisis puisqu’ils sont récupérables d’une certaine manière et non néfastes pour l’abeille, par exemple, de la peinture en aérosol. Alors, le choix de garder le contreplaquer naturel s’imposait. Ensuite, les alvéoles de carton ont la dimension d’une carte professionnelle pour leur donner une seconde vie après l’évènement, soit un souvenir d’avoir participé. Puis, tous les éléments de l’affiche ne sont pas numériques, mais du mix-média puisque l’abeille travaille essentiellement à la main.
Bref, ce projet a été bien reçu du public. De plus, l’interaction avec les paires a été stimulante et intéressante.
RÉFÉRENCES :
REEVES H. (s.d) Si l’abeille disparaissait.
Consulté à l’adresse suivante>
Florence Massé-Vincelette, Santiago
Orozco-Urrea
ÉVÉNEMENT—LIEU
Fictif, montage photoPour ce projet, nous avons décidé de créer des montages photo qui ont pour but de susciter des réactions. Nous nous sommes posé une question afin de nous aider dans la réalisation de notre projet et c’est celle-ci : vous est-il déjà arrivé de faire une blague sur la communauté LGBTQIA+ en croyant qu’il n’y aurait aucune répercussion ? Pour notre projet, nous souhaitons que les gens se questionnent sur la façon dont ils se comportent et les répercussions que cela peut avoir sur ses victimes. Nous remarquons que malgré toutes les avancées des dernières années, que ce soit la légalisation du mariage de gens de même sexe, les droits sur les transsexuels et plusieurs autres actions pour qu’ils se sentent bien. Mais, il reste toujours du chemin à faire pour cette cause et c’est pour cette raison que nous avons choisi ce sujet.
Nous avons fait de la recherche afin de trouver des statistiques entourant cette communauté. Nous avons aussi parlé avec les gens de notre entourage qui font partie de la communauté LGBTQIA+. Et nous en avons retenu que dans leur quotidien, ils leur arrivent de vivre des situations difficiles. Alors, nous avons créé six montages photo avec les couleurs du drapeau (de la fierté gaie). Nous avons fait un travail de rédaction, afin de composer des phrases touchantes sur différentes situations que vivent les gens de la communauté LGBTQIA+. Nous avons cherché des statistiques en lien avec chacune des situations. Nous avons créé des silhouettes que nous avons mises dans le contexte associé aux phrases et statistiques. Les silhouettes sont aux couleurs du drapeau. De plus, nous avons choisi de les présenter dans l’ordre du drapeau et nous avons conçu une gradation à partir de ses couleurs. Aussi, nous avons fait une page Facebook ainsi qu’un profil Instagram pour nos vraies couleurs où nous avons publié différents éléments relatifs à notre projet.
Pour conclure, nous avons interrogé quelques personnes pour connaitre leurs opinions sur notre projet. Nous croyons vraiment qu’avec ce projet nous avons réussi notre mission, qui consistait à amener la population à se poser des questions sur leurs comportements et les jugements qu’ils peuvent avoir à l’égard de la communauté LGBTQIA+.
__________________________________________
Groupe 11
équipe 1
AMESATIS
ÉQUIPE
Jessica
Gadebois, Emma Laberge, Karuna Kemrugka,
Ophélie Henrard
ÉVÉNEMENT—LIEU
Kiosque de
sensibilisation à la cause des produits cosmétiques qui ne testent pas sur les
animaux et
qui ne
contiennent pas de substances animales.
Savez-vous
ce que vous vous mettez dans le visage?
Nous avons choisi de sensibiliser les jeunes de 17 à 25 ans à une problématique qui nous entoure et à laquelle nous contribuons, souvent sans même le savoir. De nos jours, les cosmétiques qui font partie intégrante de notre routine sont très souvent testés sur les animaux, afin de s’assurer qu’ils ne produisent pas de réaction allergique sur les consommateurs. Dans certains pays, la Chine par exemple, les tests sur les animaux avant la vente au détail sont même obligatoires. Tout aussi dérangeant, il y a aussi les produits qui contiennent des ingrédients provenant d’animaux et les produits utilisés dans les cosmétiques qui sont nocifs pour l’environnement. Même si l’achat de produits sans cruauté, véganes et sans conséquences pour l’environnement est une pratique de plus en plus courante, l’information présentée sur les emballages de cosmétiques est parfois fausse et les gens participent donc à la production de ces produits sans le vouloir et sans le savoir. C’est pourquoi nous avons voulu éduquer les jeunes à surveiller les certifications officielles promettant un produit qui respecte notre morale plutôt que de se fier à des inscriptions telles que “100% végane” qui ne sont soumises à aucune loi gouvernementales. Notre équipe a choisi de présenter sa recherche au Cégep du Vieux Montréal afin d’entrer en contact avec des gens de notre public cible.
Nous avons choisi de sensibiliser les jeunes de 17 à 25 ans à une problématique qui nous entoure et à laquelle nous contribuons, souvent sans même le savoir. De nos jours, les cosmétiques qui font partie intégrante de notre routine sont très souvent testés sur les animaux, afin de s’assurer qu’ils ne produisent pas de réaction allergique sur les consommateurs. Dans certains pays, la Chine par exemple, les tests sur les animaux avant la vente au détail sont même obligatoires. Tout aussi dérangeant, il y a aussi les produits qui contiennent des ingrédients provenant d’animaux et les produits utilisés dans les cosmétiques qui sont nocifs pour l’environnement. Même si l’achat de produits sans cruauté, véganes et sans conséquences pour l’environnement est une pratique de plus en plus courante, l’information présentée sur les emballages de cosmétiques est parfois fausse et les gens participent donc à la production de ces produits sans le vouloir et sans le savoir. C’est pourquoi nous avons voulu éduquer les jeunes à surveiller les certifications officielles promettant un produit qui respecte notre morale plutôt que de se fier à des inscriptions telles que “100% végane” qui ne sont soumises à aucune loi gouvernementales. Notre équipe a choisi de présenter sa recherche au Cégep du Vieux Montréal afin d’entrer en contact avec des gens de notre public cible.
L’idée était de monter un faux
kiosque de maquillage et d’attirer les gens avec une question qui les cible.:
savez-vous ce que vous vous mettez dans le visage? Ils pouvaient alors
manipuler nos boîtes de cosmétiques et découvrir à l’intérieur de chaque
emballage un fait choquant ou une statistique et une image les informant sur la
réalité des tests sur les animaux, des substances animales contenues dans nos
produits quotidiens et de leurs méfaits sur l’environnement. Plusieurs
personnes se sont intéressées à notre présentation, et nous avons même eu la
chance de discuter avec des élèves déjà bien informés qui nous en ont appris davantage
sur le sujet et sur ses enjeux. Afin que les étudiants intéressés par notre
projet participent activement à la cause, nous leurs avons proposé de signer
une pétition contre la cruauté envers les animaux soutenue par the Body Shop.
Les étudiants ont également pu repartir avec une petite carte leur indiquant
les logos sans-cruauté et végane à surveiller afin d’acheter leurs produits en
toute connaissance de cause, ainsi qu’une recette de rouge à lèvre maison!
__________________________________________
équipe 2
FAKE NEWS
équipe 2
FAKE NEWS
ÉQUIPE
Antoine Delval, Adèle Flannery, Luc Verreault
Antoine Delval, Adèle Flannery, Luc Verreault
ÉVÉNEMENT—LIEU
Projection
pour sensibiliser les gens à l’omniprésence des fake news dans leur univers numérique
Extérieur,
Campus des sciences, UQÀM
Fake News est un projet de sensibilisation à la problématique de la désinformation et à l’importance de la vérification des sources, particulièrement sur les plateformes numériques.
A l’aulne d’une
société dite de post-vérité, les fausses nouvelles submergent nos réseaux
sociaux et moteurs de recherche, alimentées d’un côté par la crédulité des
lecteurs, et de l’autre par les algorithmes de compagnies telles que Facebook
ou Google. Notre démarche,
bien loin d’une volonté de trouver des coupables et de blâmer l’un ou l’autre,
avait comme priorité la prise de conscience individuelle : mettre le spectateur
au centre du projet et de la réflexion.
Ainsi,
l’installation consistait en la projection d’une vidéo d’une page Google
légèrement «glitchée,» dont le E avait été renversé, et où se trouvait une fake news. A droite de la projection
était placée une plaque explicative du projet, qui invitait le spectateur à
devenir acteur, et à trouver la « vraie information ». Plus loin, un panneau
corrigeait la fake news en utilisant
le principe de la ligne rouge et de l’«autocorrect» (correcteur). Par cette
installation, nous avons tenté de matérialiser le virtuel ; rendre l’habituel
inhabituel, pour attiser les curiosités ; et représenter symboliquement le «
parcours » que peut représenter la vérification des sources.
équipe 3
LAISSE TA MARQUE
ÉQUIPE
Madison Bell, Arthur Grivel, Xavier
Savage
ÉVÉNEMENT—LIEU
Installation de projection, plusieurs endroits dont l'UQÀM
Dans le cadre du projet
« prendre position » nous avons décidé de s’attaquer à un phénomène
omniprésent dans le monde contemporain, la publicité.
Nous sommes au point où la
plupart des entreprises du 21e siècle dépensent en grande partie leur argent
dans des campagnes publicitaires. On parle de montant se situant entre 10 et
40% de leur revenu annuel, ce qui est énorme, surtout en prenant en
considération les sommes monstrueuses qui sont générées annuellement par ces
entreprises.
Notre concept est de présenter au
grand public la somme totale investie par ces compagnies annuellement dans
leurs campagnes publicitaires. Ensuite démontrer ce qui pourrais être accompli
de façon concrète dans l’optique de régler certains problèmes planète avec le
même montant. Notre but est de prouver qu’en redirigent une partie des investissements
publicitaire vers une cause sociale, peut avoir les mêmes impacts financiers
positifs pour cette dernière. Nous avons choisi trois
principaux domaines qui nous touches tous ; l’industrie alimentaire,
l’industrie du textile et bien sûr l’industrie technologique. Par la suite
trois multinationales qui selon nous représentaient bien chaque domaine.
Coca-cola, Nike et Apple.
Notre procédé consistait a créer
3 affiches blanches comportant simplement le logo de chaque entreprises centré
en noir. Par la suite, les affiches étaient présentées dans des lieux publiques,
simulant des publicités. La dernière étape était de créer des animations
comportant les statistiques de chaque entreprise donc combien ils dépensent par
année en publicité et ce qui pourrait être réalisé avec le même montant. Ces
informations étaient ensuite projetées en superposition avec les affiches grâce
à des projecteurs.
équipe 4
UÉNERGIE DANS MA VILLE
ÉQUIPE
Emmanuelle Desfossés, Amélie Vaillancourt, Éloïse Carrier, Magalie Chen Laberge
ÉVÉNEMENT—LIEU
Prendre avantage de l’énergie gratuite dans notre ville.
Entrée extérieure du 1000 de La Gauchetière.
Emmanuelle Desfossés, Amélie Vaillancourt, Éloïse Carrier, Magalie Chen Laberge
ÉVÉNEMENT—LIEU
Prendre avantage de l’énergie gratuite dans notre ville.
Entrée extérieure du 1000 de La Gauchetière.
Imaginez les
possibilités d’énergies renouvelables en ville.
Notre
projet consiste à conscientiser la population
(proposer des solutions face aux exemples de pertes d’énergie)
sur la quantité d’énergie renouvelable
produite par de simples activités urbaines, mais qui
se perd chaque jour. Nous produisons constamment de l’énergie,
que ce soit sur un vélo stationnaire, sur une balançoire,
en traversant un tourniquet ou en poussant une porte tournante. Cette énergie
humaine qui correspond à des milliers de watts n’est
malheureusement pas récupérée.
Toute la population pourrait profiter de cette énergie gratuite. Les
municipalités afficheraient une baisse de
leurs coûts d’électricité (1) et pourraient
faire profiter la population de cette énergie participative
et de transition, à travers les différents
lieux et services : métro, parcs, salles d’entraînements,
bâtiments autosuffisants, etc.
Notre
but est donc de créer une installation informative
sur ce sujet et de l’installer à un
endroit précis où il y a une perte d’énergie renouvelable.
Notre choix s’est arrêté sur
les portes tournantes à l’entrée du 1000
de La Gauchetière et l’énergie
qu'elles produisent tous les jours par la population qui les poussent.
INSTAGRAM
#ÉnergieDansMaVille
Contenu : Idées d’endroits
de récupération de l’énergie à Montréal et exemples de projets de récupération
de l’énergie partout dans le monde
SOURCES
http://www.thegreenmicrogym.com/electricity-generating-equipment-2/ http://www.hydroquebec.com/residentiel/espace-clients/compte-et-facture/comprendre-facture/tarifs-residentiels-electricite/tarif-d.html
__________________________________________
équipe 5
La beauté c’est nous: célèbre-toi
CÉLÈBRE_TOI
CÉLÈBRE_TOI
ÉQUIPE
Daniel Cruz, Alexis Quesnel, Léo Hesling
Daniel Cruz, Alexis Quesnel, Léo Hesling
ÉVÉNEMENT—LIEU
Projection intéractive diffusant le message de l’acceptation et la célebration des différences.
Célèbre-toi est une installation interactive sous forme de double projection. La cohérence formelle du dispositif avec la l’idéologie du projet se trouve dans le fait qu’en se plaçant devant le premier projecteur, une ombre se crée et se complète par le deuxième projecteur. L’ombre de chaque utilisateur reflète son unicité et ses différences. En installant une ambiance festive et en diffusant notre message à chaque visiteur, notre installation fut effective en transmettant ce que nous souhaitions transmettre, c’est-à-dire ; un message d’espoir et d’acceptation de ses différences.
Célèbre-toi prône un discours
anti-normatif. La montée de la conformité et de la normalisation est plus que
présente en 2017. La culture de masse, les algorithmes d’auto-sélection du
divertissement qui vous est proposé, la montée de l’extrême droite, les
dommages engendrés par la comparaison sociale sur les réseaux sociaux (Vannuci,
A,. Flannery, K. M., and Ohannessian, C.M., 2017), bref, tout est mis place
pour créer l’angoisse de glisser en dehors du cadre qui nous est prescrit.
L’individualisation devient alors
un processus retardé et même souvent inachevé dans nos sociétés modernes. Une
réelle perte d’une quête ontologique régit au sein de nos communautés.
Pourtant, accepter sa solitude existentielle, son individualité et ses
différences est l’une des étapes importantes vers l’actualisation de soi. Une
société actualisée est une société en santé, une société active, passionnée et
heureuse.
Par cette démarche, nous ne
faisons surtout pas la promotion du narcissisme ou de valeurs égocentriques. Au
contraire, nous faisons la promotion de l’acceptation des différences, de
l’amour, du positivisme et de la découverte de soi pour tous et chacun.
Célébrons la diversité, sous tous les niveaux, tant qu’elle soit bonne,
proactive et progressiste.
__________________________________________
TERRAINS VACANTS
TERRAINS VACANTS
ÉQUIPE
Marvin Valladares, Rebbeca Gerber-Muir, Tom Tavares
ÉVÉNEMENT—LIEU
Installation pour la valorisation des logements sociaux
Le projet de terrains vagues nous est venu à l’esprit après des
discussions au sujet la construction de condos de luxes un peu partout dans la
ville au détriment des logements à prix plus accessibles. Quelques recherches
en ligne plus tard, les statistiques parlaient d’elles-mêmes : 34,4% des
ménages montréalais vivent sous le seuil de la pauvreté mais seulement 7,4% des
logements sont sociaux, c’est-à-dire spécialement destinés aux personnes à
revenus modestes, pendant que la majorité des mises en chantiers à Montréal
sont des condominiums. Nous avons aussi découvert que les terrains vacants
occupent plus de 25km² de la surface de l’île. Cette donnée nous a fait
sourciller, c’est beaucoup d’espace inutilisé pendant de longues périodes et
souvent au beau milieu des zones urbaines les plus denses.
Nous étions curieux de savoir ce qu’en pensaient la population
alors nous sommes allés tâter le terrain. Nous avons apporté au coin de Parc et
Milton deux chaises et une table du jaune le plus vif. Sur la table, des
feuilles libres arborant une question simple, ouvrant la porte à toute les
possibilités : et vous? en quoi aimeriez-vous voir se transformer cet endroit?
Nous avons eu droit à une myriade de réponses, parfois allant dans le sens de
l’accessibilité au logement, surtout des idées originales, extravagantes, un
témoignage touchant.
Nous aimerions agrandir l’échelle de ce projet, placarder nos
statistiques aberrantes à la grandeur de la ville, mettre du mobilier peint en
jaune un peu partout, quitte à en laisser derrière les barrières des chantiers
abandonnés, toujours dans le but d’attirer l’attention et de susciter les
passant à exprimer ce qu’ils aimeraient voir à la place de cet espace perdu.
Nous voulons attiser leur imagination, et la nôtre...
Groupe 20
équipe 1
HOCHELAG' À MOI
ÉQUIPE
Claudia Deneault-Rouillard,
Antoine Foisy Mark-Antoine Thibodeau-Breault, Élodie Trudel
ÉVÉNEMENT—LIEU
Distribution de t-shirts
sérigraphiés
au Café Atomique
Hochelaga-Maisonneuve est un
quartier vivant reconnu pour son ouverture d’esprit et sa diversité. Au cours des
dernières années, il est devenu la cible de promoteurs qui tentent
d’embourgeoiser le quartier à coups de condominiums et de boutiques à la mode.
HOCHELAG’ À MOI est un projet
créé dans le cadre du cours « Design problématique » qui souhaite mettre en
valeur l’identité du quartier par la distribution de vêtements sérigraphiés à
l’effigie des symboles de l’éclectique arrondissement. Les illustrations qui
ont été imprimées sur les chandails représentent l’esprit unique du quartier et
ses lieux emblématiques, tel que l’Anticafé et le Miami Déli. La signature
HOCHELAG’À MOI symbolise la réappropriation du quartier par ses habitants.
L’évènement a eu lieu au Atomic
Café, un café local reconnu pour son ouverture d’esprit et son authenticité.
Les gens étaient invités à venir au café et à se choisir un t-shirt arborant
l’illustration qui pour eux représentent le mieux leur quartier.
Cette forme de sensibilisation a eu pour effet de
donner un sentiment d’appartenance aux habitants du quartier et de stimuler les
échanges en lien avec la problématique. L’évènement a donné de la joie aux
gens
qui ont reçu les chandails. Puisque les étiquettes étaient fait en tissu
et que les vêtements étaient réutilisés, l’empreinte écologique du
projet était minimisée.
équipe 2
LA FEMME CACHÉE
ÉQUIPE
Méghan Tremblay, Cynthia Dauphin et Caroline Perrault-Fortier
ÉVÉNEMENT—LIEU
Exposition de produits féminins,UQAM, pavillon de Design
Dans
le cadre du projet, prenez position dans le cours de problématique,
nous avions comme objectif de sensibiliser les hommes et
particulièrement les femmes aux besoins hygiéniques des femmes
itinérantes.
Cette
idée s’est développée à travers le projet nommé : La femme cachée.
L’ensemble de l’installation est un visuel qui attire l’attention des
passants par ses couleurs contrastées et sont jeux de « ton sur ton »
qui porte à la réflexion. Les individus sont donc invités à s’informer
sur le sujet de l’itinérance des femmes et leurs besoins au sujet de
l’hygiène.
De plus, les femmes sont invitées à déposer sur la table des produits hygiéniques, qui sont pour elle des besoins de leur quotidien, alors que pour les femmes itinérantes, il s’agit de produits à coût très élevé et difficile à se procurer.L’exposition développée dans le couloir du troisième étage du pavillon de Design, permet de montrer aux femmes quels besoins hygiéniques, les femmes itinérantes nécessitent. Le lieu choisi n’était pas le lieu retenu, mais il permet toutefois, une bonne visibilité puisque c’est un lieu passant. Les femmes peuvent déposer sur la table, de produits hygiéniques provenant de chez eux, dont elles n’ont plus besoin et y laisser un « tag » qui renforce l’idée d’entraide entre femmes à l’aide de citation de femmes féministes telles que Simone de Beauvoir, Elsa Dorlin et Michelle Obama. Les éléments visuels permettent de créer un univers harmonieux pour le public.
Les produits ramassés seront remis à la rue des Femmes, un organisme qui aide les femmes itinérantes à avoir des produits ainsi qu’un endroit pour se laver et se loger pour une certaine durée. La rue des Femmes est un organisme aidant les femmes dans la rue à s’en sortir grâce aux services d’accueil et de psychologie qu’ils leur fournissent. Après avoir discuté avec une femme travaillant pour l’organisme, il était important pour nous de communiquer la réelle problématique à laquelle certaines femmes sont confrontées et de transmettre des valeurs d’entraide à l’aide de l’action d’incitation à donner aux autres.
Bref, le défi était d’interpeller, de communiquer et de faire interagir les passant afin des informer sur le sujet des femmes itinérantes et de les sensibiliser sur le fait que même si les femmes itinérantes semblent être peu présente, elles sont nombreuses et elles ont besoin d’aide.
De plus, les femmes sont invitées à déposer sur la table des produits hygiéniques, qui sont pour elle des besoins de leur quotidien, alors que pour les femmes itinérantes, il s’agit de produits à coût très élevé et difficile à se procurer.L’exposition développée dans le couloir du troisième étage du pavillon de Design, permet de montrer aux femmes quels besoins hygiéniques, les femmes itinérantes nécessitent. Le lieu choisi n’était pas le lieu retenu, mais il permet toutefois, une bonne visibilité puisque c’est un lieu passant. Les femmes peuvent déposer sur la table, de produits hygiéniques provenant de chez eux, dont elles n’ont plus besoin et y laisser un « tag » qui renforce l’idée d’entraide entre femmes à l’aide de citation de femmes féministes telles que Simone de Beauvoir, Elsa Dorlin et Michelle Obama. Les éléments visuels permettent de créer un univers harmonieux pour le public.
Les produits ramassés seront remis à la rue des Femmes, un organisme qui aide les femmes itinérantes à avoir des produits ainsi qu’un endroit pour se laver et se loger pour une certaine durée. La rue des Femmes est un organisme aidant les femmes dans la rue à s’en sortir grâce aux services d’accueil et de psychologie qu’ils leur fournissent. Après avoir discuté avec une femme travaillant pour l’organisme, il était important pour nous de communiquer la réelle problématique à laquelle certaines femmes sont confrontées et de transmettre des valeurs d’entraide à l’aide de l’action d’incitation à donner aux autres.
Bref, le défi était d’interpeller, de communiquer et de faire interagir les passant afin des informer sur le sujet des femmes itinérantes et de les sensibiliser sur le fait que même si les femmes itinérantes semblent être peu présente, elles sont nombreuses et elles ont besoin d’aide.
équipe 3
BACSAC
ÉQUIPE
Anne-Sophie Côté, Élisabeth Major
Marie-Blanche Rossi & Vanessa
Ying Yi Yang
ÉVÉNEMENT—LIEU
Installation d’une boîte
pour une réutilisation optimale des
sacs réutilisables chez Vrac & Bocaux
Dans le cadre du cours de problématique, nous avons choisi de nous attaquer au problème environnemental
de la sous-utilisation des sacs
réutilisables vendus chez divers marchands alimentaires et commerces au détail,
en remplacement du sac d’emplettes en plastique.
Ce projet est donc fait pour les gens qui souhaitent mettre un pied dans le Zéro-Déchets. Il s’agit ici de la mise au point d’un espace d’échange de sacs réutilisables dans un commerce montréalais s’inscrivant déjà dans une démarche environnementale : Vrac & Bocaux. Le but est de créer un mouvement ainsi qu’une interaction entre les gens, soit ceux et celles ayant trop de sacs et qui les auraient oubliés, ou ceux et celles n’en ayant tout simplement pas.
Les sacs seront déposés directement par les participant.e.s souhaitant prendre part au projet dans une grande boîte en bois placée dans l’entrée du commerce participant. Par cette action simple, le sac est inscrit dans le mouvement et est accessible à quiconque le désire. Par le biais de notre projet, nous souhaitons sensibiliser un public déjà soucieux de l’environnement aux effets néfastes de la surconsommation des sacs réutilisables dans le marché québécois en réduisant le problème à la source. En effet, un sac réutilisable doit être utilisé au minimum 131 fois pour être moins dommageable en fin de vie qu’un sac de plastique à usage unique.
Le lieu que nous avons choisi se
situe près du centre-ville de Montréal et s’adresse principalement aux gens
ayant une forte conscience écologique. Par son emplacement stratégique, soit
sur la route de plusieurs grands commerçants connus et par ses convictions
fortes, le commerce Vrac & Bocaux était tout désigné pour accueillir notre
projet.
Notre boîte, l’ensemble de nos
communications, ainsi que notre logo présentent une force visuelle de par leur
sobriété moderne et uniforme. Nous avons voulu mettre en valeur le matériau
utilisé pour la construction, ici le bois, tout comme les matériaux des sacs
déposés à l’intérieur. Pour complémenter
l’ambiance et adoucir le ton, nous avons ajouté du blanc et des accents de
noir. La typographie est gestuelle et mouvementée, complétée par une linéale
claire et facilement lisible.
__________________________________________
équipe 4
POUSSE-TOI
__________________________________________
équipe 4
POUSSE-TOI
ÉQUIPE
Christina
Arciero, Isadora Ayesha Lima, Jeanne Laporte, Juliette Dupont Duchesne
ÉVÉNEMENT—LIEU
Distribution
de fausses contraventions et installation de légumes géants autour du Parc des
Compagnons afin de sensibiliser les gens à la place occupée par les voitures en ville
Le
projet #Poussetoi s’inscrit dans la lignée des initiatives comme le Parking Day
afin de susciter une prise de conscience face à la place occupée par les
voitures en ville. On
estime qu’en moyenne 40% de l’espace des grandes villes est dédié au
stationnement.
Si l’on transformait les places réservées aux voitures entourant le Parc des Compagnons, situé dans le plateau Mont-Royal, en jardins communautaires, on obtiendrait l’espace nécessaire pour assurer la consommation en légumes à l’année longue d’environ 75 personnes.Ceci n’est qu’un exemple; si les Montréalais modifiaient leurs habitudes de transport et se mettaient à délaisser la voiture, de nombreuses installations plus utiles à la vie communautaire pourraient être créées à la place des stationnements.
Ainsi, notre projet consiste à placer des légumes géants en carton sur des espaces de stationnement entourant le Parc des Compagnons tout en distribuant de fausses contraventions aux passants. Sur ces tickets sont présentées des suggestions d’alternatives à la voiture situées à proximité du parc, comme l’autobus et le bixi. Toutefois, l’initiative doit venir des gens eux-mêmes, c’est pourquoi nous avons intégré une partie détachable à notre ticket de contravention sur laquelle les gens peuvent partager ce qu’ils aimeraient voir «pousser» pour remplacer les stationnements.
Toutes les réponses ont été affiché sur un compte Instagram que nous avons créé pour l’occasion, @projet.poussetoi.
Si l’on transformait les places réservées aux voitures entourant le Parc des Compagnons, situé dans le plateau Mont-Royal, en jardins communautaires, on obtiendrait l’espace nécessaire pour assurer la consommation en légumes à l’année longue d’environ 75 personnes.Ceci n’est qu’un exemple; si les Montréalais modifiaient leurs habitudes de transport et se mettaient à délaisser la voiture, de nombreuses installations plus utiles à la vie communautaire pourraient être créées à la place des stationnements.
Ainsi, notre projet consiste à placer des légumes géants en carton sur des espaces de stationnement entourant le Parc des Compagnons tout en distribuant de fausses contraventions aux passants. Sur ces tickets sont présentées des suggestions d’alternatives à la voiture situées à proximité du parc, comme l’autobus et le bixi. Toutefois, l’initiative doit venir des gens eux-mêmes, c’est pourquoi nous avons intégré une partie détachable à notre ticket de contravention sur laquelle les gens peuvent partager ce qu’ils aimeraient voir «pousser» pour remplacer les stationnements.
Toutes les réponses ont été affiché sur un compte Instagram que nous avons créé pour l’occasion, @projet.poussetoi.
« Ta, La Définition » est
un projet ou nous espérons sensibiliser et éduquer les gens à propos du
harcèlement en utilisant la définition comme élément central. Nous avons créé
un court dictionnaire présenté en format double page sur 7 mots en rapport au harcèlement.
La page de droite présente la définition claire du dictionnaire tandis que
celle de gauche présente une définition déformée par la société. Nous voulions
créer un espace de type muséal qui représente l’éducation grâce à la
bibliothèque, le pupitre et la chaise. La bibliothèque se compose de livres
dans les tons de turquoise rappelant la couleur officielle de la journée contre
le harcèlement. On retrouve aussi, dans la bibliothèque, 3 couvertures de
livres qui arborent statistiques et phrases percutantes sur le sujet. La chaise
invite les gens à s’asseoir et à consulter le dictionnaire tout en étant à la
bonne hauteur pour prendre connaissance des informations sur les couvertures. L’environnement
ainsi créé permettait un temps de réflexion et de remise en question aux
participants. Nous avons choisi de réaliser le projet dans un milieu
universitaire, où le harcèlement sexuel est très présent, dans un corridor
grandement emprunté par les étudiants afin de toucher une grande masse de gens.
Nous voulions que les participants reviennent aux bases, à l’apprentissage du
respect qui n’est manifestement pas acquis par tout le monde et qu’ils soient
en mesure d’entamer une conversation sur leurs impressions en quittant l’installation.
Notre projet a bien fait suite aux nombreuses dénonciations qui ont jailli sur
les médias sociaux dans les dernières semaines. Cela prouve que notre sujet est
toujours un problème d’actualité et que peu de solutions sont présentement disponibles
puisqu’il faut réussir à combattre une mentalité dégradante. Nous espérions que
notre projet invite à la réflexion et puisse éventuellement changer les
approches harcelantes posées par notre génération.
. __________________________________________
équipe 6
DANS LE ROUGE
ÉQUIPE
Vincent Hurtubise, Catherine D.
Marcoux, Isabelle Parson et Geneviève St-Georges
ÉVÉNEMENT—LIEU
Performance de style sit in
intitulée “Dans le rouge”
Corridor devant le secrétariat de
l’École de design École de Design
Nous souhaitions sensibiliser les
étudiants, les professeur(e)s et employé(e)s de l’École de design à
l’utilisation que nous faisons de nos téléphones cellulaires et des réseaux
sociaux. En soi, la formule était assez
simple, nous simulions une file d’attente (sièges et poteaux de fi le d’attente devant le
secrétariat) avec une phrase accrocheuse apposée au mur “Savais-tu qu’en
moyenne tu passes 4 h/jour sur ton mobile?”
Simultanément, nous avions ajouté
à la porte de la salle de conférence adjacente une enseigne avec la mention “Sur Facebook. De retour dans 50
min.” Notre concept se voulait réaliste dans son approche (chaises et fi le
d’attente), mais absurde au second degré. En effet, nous voulions confronter
les passants à l’absurdité du temps qu’ils perdent en ligne en simulant des
situations d’attente improbable. Ne serait-il pas absurde en effet d’attendre
50 minutes pour parler à un(e) professeur(e), simplement parce que celui-ci aurait
choisi de naviguer sur Facebook... Ce qui est le plus troublant, c’est de penser
que les enseignes ne sont peut-être pas les éléments ludiques du projet, mais
plutôt les éléments réalistes de celui-ci...
Nous avons également distribué
sur les portes des classes et des bureaux de l’École de design des “accroche-portes” imitant les cartes de temps de l’époque. Ceux-ci font mention des
statistiques hebdomadaires moyennes de l’utilisation des applications les plus
populaires (Facebook, Instagram, Snapchat, etc.).
__________________________________________
équipe 6
__________________________________________
équipe 6
ÉQUIPE
Florence Levasseur, Vincent Lemieux, Thierry Laberge
ÉVÉNEMENT—LIEU
Échange et partage de t-shirt au café de l'École de Design.
Dans le
cadre du cours de problématique, nous avons souhaité renseigner les jeunes sur
la problématique de la surconsommation de textile. Les gens furent invités via
une page événementielle sur Facebook à se présenter le 31 octobre au café design
avec un t-shirt dont ils désiraient se débarrasser. Plusieurs
affiches invitant à l’évènement furent placardées dans le pavillon de design. Chaque
t-shirt apporté permettrait d’en recevoir un et ainsi de suite.
Sur
chacun des emballages une mention concernant le projet et des statistiques
choquantes. Les gens sont donc invités à échanger sur le sujet et à porter fièrement
leur tout nouveau t-shirt. Plusieurs éléments visuels serviront à l’interaction
proposée notamment 3 GIFs sur Facebook. Le lieu
a été retenu en fonction de sa grande visibilité et achalandage par les étudiants
de l’UQAM. Les éléments visuels sont minimaux, simples symbolisant la chaine l’échange.
Le canevas urbain nous a portés à repenser la disposition de nos T-shirts
pour leur permettre un accès facile et une plus grande visibilité. Une
importance fut accordée aux matériaux quant à la réalisation de notre projet,
un minimum de papier (le tout se déroulant majoritairement sur Facebook) fut
utilisé pour servir notre propos sur l’importance du recyclage et la
minimalisation des déchets.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire