Affichage des articles dont le libellé est Questionnement design. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Questionnement design. Afficher tous les articles

8.6.11

MATINÉES SDGQ/LAIKA


______________________________________________________
MATINÉES SDGQ
Une bonne raison de changer mes petites habitudes de cantine au Laika pour des petits déjeuners. La SDGQ y lance un événement matinal avec au menu pour cette première semaine -ça vaut combien un bon design- Ha ça...quelle question!

Lire l'invitation sur Grafika
______________________________________________________

30.7.10

LE MAGAZINE PRÉ-MÂCHÉ





______________________________________________________
«Après l'illustration déjà faite, le design pré-mâché....Aie. G.
»

Mon ami Gérard DuBois, (ci-haut) m'envoie souvent de chouettes liens et m'écrivait il y a 2 semaines déjà, ce mot, (mis en titre), que je partage avec vous. Je vous invite à lire les réactions de nombreux designers qui ont à juste titre de vives réactions et, parfois, tout de même espoir que le design triomphera.
lien >http://www.ready-media.com/
et commentaires >
______________________________________________________

2.2.10

PENSER TOUT HAUT


______________________________________________________
PENSER TOUT HAUT | Faire l'architecture

CENTRE DE DESIGN

Comment les idées naissent-elles et comment leur donne-t-on une forme matérielle? Quels sont les liens entre la conception architecturale et ses modes de production? À quelles sources d'inspiration puisent les architectes? Quels sont leurs outils? L'environnement de l'atelier et les outils utilisés influent-ils sur le processus décisionnel? Dans la présente exposition*, la commissaire Elke Krasny propose quelques points de vue et offre des réponses à ces questions complexes.

Au moyen d’entrevues, de documents photographiques et d’exemples concrets – maquettes, dessins, plans et divers autres objets –, elle nous fait voir plus intimement vingt-deux pratiques architecturales. L’exposition s’accompagne d’un recueil d’outils prenant la forme d’un lexique, qui illustre la vaste gamme d’outils professionnels utilisés par plusieurs générations d’architectes et de designers. Ce lexique a été préparé par Céline Poisson, professeure à l'École de design.

* La présente exposition constitue la transformation et la contextualisation canadienne de celle intitulée Architektur beginnt im Kopf (The Force is in the Mind) | The Making of Architecture qui fut présentée au Architekturzentrum Wien d’octobre 2008 à février 2009. La démarche de la commissaire Elke Krasny et sa recherche en atelier, de même que la documentation photographique de l’exposition originale, conçue et réalisée à travers le monde dans les ateliers de divers architectes, a été adaptée afin de refléter les manières de travailler des architectes du Canada.

Exposition : 11 février au 18 avril 2010 / merc. au dim. / 12h à 18h
Vernissage : 10 février à 18h
Centre de design
1440, rue Sanguinet / Entrée libre

______________________________________________________

DE PLUS

Présentée conjointement par le Centre de design et l’École de design, dans le cadre de cette exposition Penser tout haut | Faire l’architecture, il y aura aussi une conférence de Jean-Pierre Cometti qui introduira parallèlement le thème développé dans le cadre des ateliers de la série Design international qui aura lieu du 1 au 8 mai prochain. Les étudiants intéressés à s'inscrire à cette semaine de Design sont donc aussi conviés à assister à cette conférence.

Jeudi le 11 février à 18 h, au local DE-3240 du Pavillon de design de l'UQAM

LES OUTILS PENSENT-ILS ?
L'esprit-design et les rêves d'Eupalinos

Qu’il y ait dans l’art, l’architecture et le design quelque chose de divin, c’est une conviction qui n’a cessé d’être relayée au cours des âges, en particulier par le Romantisme. Cette conviction justifie à la fois notre usage du verbe créer et l’habitude que nous avons de privilégier les intentions dont toute construction nous paraît solidaire, dès lors qu’elle cesse de répondre à la monotonie des actions qui président à la production mécanisée. Mais quel rôle jouent les outils en design et pour la pensée ?

Jean-Pierre Cometti a enseigné la philosophie et l’esthétique à l’Université de Provence. Il a publié de nombreux auteurs américains issus de la philosophie analytique et du pragmatisme. Il est aussi l’auteur de plusieurs livres consacrés à Ludwig Wittgenstein, à Robert Musil, au pragmatisme américain et à des questions d’esthétique.

______________________________________________________

19.5.09

Swimming, Surfing ou CrowdSourcing.


______________________________________________________
C'est bien connu, les blogues, même s'ils souhaitent ou prétendent se concentrer sur un sujet, comme celui d’un cours, se teintent forcément des humeurs de ceux qui les tiennent et vont parfois dans toutes les directions. Ce matin, je me permets un billet d'humeur, justement, un peu fourre-tout.

Le mot vol à l'étalage existe encore. Mais plusieurs s’imaginent que le ShopLifting, c'est pour ceux qui ont plus de couilles.

J'accepte certaines réalités, sans condamner, je le jure. Que, dans les univers où l'éducation n'est pas chose accessible pour tous, on se tourne vers les anglicismes faute de connaître le mot d’origine ne me choque pas autant. Je me force même à adopter un langage de saine communication, pour ne pas sembler arrogante ou envers mon interlocuteur ou ignare à ses yeux. Le dash ou la drill, sont des classiques. Nous souhaiterons tout de même apprendre à nos enfants la richesse d’une langue, avec ses difficultés, contradictions et subtilités, dont les emprunts à d’autres langues feront partie. Ad vitam eternam, couscous, pinata ou tortellinis ne se traduiront pas toujours, et on les adoptera avec plaisir voire, avec fierté.

Il y en a partout, dans tous les univers. Que ce soit le SpeedDating, le SlowFooding ou le simple trekking. Me retrouver en France et lire, non plus simplement le Parking, mais le Carwashing ou le FrenchCoffeee bar, m'énerve presque moins que ce que je m’apprête à vous exposer. C'est tout dire. Les Français qui donnent des conférences chez nous me donnent souvent le tournis, (le VomitingFeeling). On est en train de les imiter. Je n'ai rien contre les français, j'en ai même plein ma famille et choisi un comme amoureux.

Ça m'énerve dès que j’en entends un. Pas un français, un ING J'en parle à mon chum frenchy, la plupart de mes étudiants le savent, mais ce matin, j'ai eu envie de le crier. Ça s’est passé en lisant sur un billet (post) de bulletin (newsletter) le mot : CrowdSourcing… (Conférencier francophone…pas British du tout. Martin Lessard. Je ne mets pas le lien, vous chercherez vous-même si le sujet vous allume.)

Là, j'ai, je crois, EXPLOSÉ (pété une coche, mes plombs, sauté une braquette, ou eut envie de me confronter au consultant du sujet… en counsulting comme vous voulez.)

Tous ces anglicismes traficotés et qualifiés de plus quoi? Évocateurs, justes, cool, tendances (trendy)? Tout ces ING... de notre milieu, véhiculant souvent des concepts pas toujours reluisants. On avait déjà le BrainStorming (mea culpa, je l'ai utilisé plusieurs fois par paresse, à défaut de dire -tempête de cerveau- ou plus simplement -recherche d’idées- ), puis du NameDropping dénigré, on est passé à la BigIdea, remplacée par le BuzzWord, suivi du Reality-check, du BtoB, du DirectMailing, du TeamTeaching, du LiveBlogging, du ShopperMarketing, du Sponsiring, du NetWorking, du WordSpreading, du OpenSourcing, du UnBoxing (attention un pas mal non plus.. Désemballage qualifié d'érotique des produits technologiques... Il faut le lire pour le croire... pour les «digital natives» y paraît > Plus et more à lire ici) puis, on fait attention au GreenWashing (écoblanchiement) avant de faire des conférences sur le CrowdSourcing (ou comment se servir des foules? la définition, bien que trouvée sur wikipedia, vaut la peine d'être lue. )
Gustave Le Bon, qu'on étudie dans le cours de psychologie des médias -Bac en design graphique-, aimerait ça. Bien sûr en français ce n'est pas beaucoup plus noble et on se moque tout autant quand on nous parle de marketing d'authenticité.

Y'a un mélange de choses qui me choque dans ces -concepts-. Le ING collé à tout, le non respect de ma langue maternelle, de la langue où je vis, je parle, je lis, j'enseigne, je conçois, et je ne pense pas simplement en terme loi 101. Est-ce le manque d'imagination? L’assimilation ? Le fait que ce soit lié à un verbe, lui-même lié au mouvement, à l'action? La commercialisation derrière ce ING…D’ailleurs ING c'est un concept de banque en ligne non? Les notions véhiculées sont dérangeantes. Le -Comment rejoindre le public cible des 0-5 ans- de nombre d'études marketing tout court, en français, me choque autant qu’en anglais, en espagnol ou en langage signé bien sûr. Alors le CrowdSourcing

Je ne veux pas qu’on se méprenne, j'adore les langues. La langue anglaise, c'est ma langue paternelle, je l’ai apprise en même temps que le français. Mais c’est un autre débat, qui me passionne. Je n'en parle que 3, mais j'ai tenté d'en apprendre 5 et j'espère trouver le temps de m'y remettre.

Un peu à côté. Dans un cadre qui semble connexe à la Biennale, on assiste au phénomène de ShopDropping. Je vais attendre de me retrouver face au phénomène lui-même pour me prononcer sur l'effet ressenti. Un commentaire blogue doit être conçis pour être lu. Celui-ci passe déjà beaucoup trop à côté de cette vérité. Mais se défouler, c'est parfois un levier pour continuer à échanger et développer nos perceptions.
Shopdropping: >plus >more >mas

Heureusement qu'il y a encore des anglophones pour apprécier le FrenchSpeaking..

Le prochain qui me sort un BlogManaging, je pense que je le Kill, Bill.
D'ici là, je vais faire un peu de CouchSurfing vers la Louisiane, en me rappelant que la planète est -ReallyDying-. Isn't it.
______________________________________________________Lien

30.1.09

MARCHONS, MARCHONS, FORMEZ VOS BATAILLONS




______________________________________________________
ET VIVENT LES PICTOGRAMMES
Nos pictogrammes préférés, hommes, femmes et enfants qui quittent leur panneaux de signalisation, prennent vie et gèrent leur quotidien à la manière d'humains. Très chouette projet, ou, comme dirait beaucoup plus savamment ma chère collègue Céline du DESS en design d'évènements, un intéressant dispositif événementiel! De l'artiste /designer de costumes newyorkaise Yvette Helin. Merci pour ce lien Marie-Ève.
lien>
______________________________________________________

26.1.09

CRISE ET PERTES D'EMPLOIS AU ROYAUME DU DESIGN ?


______________________________________________________
DESIGNERS REPUBLIC
C'est en suivant mon fil de RSS lié au blogue d'Étienne Mineur que j'ai appris cette nouvelle, que je partage avec vous. Projet d'abécédaire qui aurait pour thème Les studios disparus...ou la crise affecte aussi l'image...
Discussion d'internautes sur le sujet, sur le blogue d'Étienne, où, comme il le dit lui-même Designers Republic, fut l'un des studios de design les plus copiés au monde. Ils tirent leur révérence après 23 ans de -loyaux services rendus-.

Vers le blogue d'Étienne Mineur>
Vers l'article >
______________________________________________________

16.1.09

HUMEUR / FUMEUR ou résolution 2009


______________________________________________________
FUMER TUE 300 FOIS PLUS DE GENS QUE LE CRIME...
Ha...les salauds de fumeurs! ha... les statistiques. Le concept n'est pas complètement sans valeur et l'information un peu dérangeante, bien qu'on nous rappelle souvent ce type de faits. Les cendres sont un peu trop proprettes cependant, et non, je ne suis pas certaine d'aimer la dimension culpabilisatrice du parallèle. Et non, il ne faut pas tout mélanger. Je m'insurge...Probablement fait-on référence, par le biais, à la fumée secondaire et tertiaire (oui, on en est à accuser le fumeur de tuer éventuellement son bébé, par le biais de ses rideaux, de son canapé et de son tapis.) Le crime causé par le fumeur lui-même, est possiblement décodé, voire décrié ici. Le fumeur a le revolver sur sa propre tempe, mais surtout, sur la tempe de ses enfants, de son voisin, de la planète. Le fumeur a un foutu problème, on le sait, et le dos large. Et moi...si J'ai l'impression alors d'avoir une artillerie complète de kalachnikovs et de tanks, accompagnés de milices armées jusqu'aux dents, braqués sur moi quand je sors de chez moi dans la circulation et que je mange le moindre aliment pas bio et que je navigue tant bien que mal entre les ondes de cellulaires?

De plus, l'énoncé cigarette = 300 X pire que le crime... peut faire réfléchir celui qui tient encore le mégot entre ses dents, mais, entre règlements de comptes, crime organisé, mafia en tous genres, guerres civiless, trafics d'armes, armes bactériologiques, crimes de guerre, guerre nucléaire, guerres contrôlées, guerre du pétrole et génocides acceptés, (taisons toutes les crises économiques orchestrées sous un fond de trafic d'armes et blanchiment d'argent), sont-ils réellement 300 fois moins... dangeureux? On n'affiche pas les têtes de morts sur les bulletins de vote malheureusement.

Pourquoi défendrais-je les fumeurs tout-à-coup !!! Alors que je m'insurgerais vertement contre les formes de pollutions de tout accabit qui nous entourent? Parce que la cigarette est une dépendance physique et psychologique pour certains. Parce qu'on ne boit pas de pétrole, on ne se shoote pas au plomb, on se remet aisément d'accepter Kyoto, et on a pas trop d'effets secondaires d'arrêter les pesticide. Mais avons nous ce choix ? L'industrie de la cigarette mérite d'être montrée du doigt, nos enfants de ne jamais y être exposés, mais le fumeur que je ne suis plus, a été décérété plus coupable qu'on ne le fera jamais ressentir en publicité et ailleurs, au propriétaire de SUV(on les fait même rouler dans la forêt amazonienne et on réinjecte des sommes faramineuses dans cette industrie), aux usines chimiques, aux Monsantos de ce monde. Le dépendant à l'alcool, aux drogues dures, au jeu, aux stéroïdes ou à la gloire ne détruit au niveau de la santé immédiate que lui-même, dira-t-on, malgré les -dommages collatéraux- autour de lui.

Le fumeur lui, tue.

Peut-être que je dis ça parce qu'après 15 ans de tentatives infructueuses et passagères, ça ne fait que 13 jours que j'ai définitivement arrêter de fumer pour de vrai. Si, si!
Et surtout, parce que les morts de la bande de Gaza à l'heure actuelle, me préoccuppent tout de même plus comme crime, que la clope que je ne fumerai plus jamais.

21.10.08

PUB&RÉTRO



______________________________________________________
VADÉRÉTRO PUBLICITAS
On se dit à quel point la publicité nous mine si souvent. On arrive cependant encore à apprécier ou à sourire à certaines d'entre-elles pour d'autres raisons, en l'occurence certaines publicités rétros. Mais Air Canada pourrait-elle aujourd'hui nous vendre un arc-en-ciel dans son sillon de GES sans greenwashing?
lien>
______________________________________________________

15.4.08

APRÈS LES -GOOD GOODS-


______________________________________________________
Everything
I designed
was unnecessary.

-Philip Starck

«Dans le futur, il n'y aura plus de designers.» Les seuls objets auxquels il reste attaché «un oreiller et un bon matelas, possiblement.» Mais ce dont on a besoin «la capacité d'aimer» conclut-il.

J'ai tendance à être d'accord, mais alors, à quand la fermeture de son site et la vente de ses jolis objets ? Là, sera sa vraie révolution, un geste concret, engagé et assumé.
PS 2 ans dit-il «pour cesser toute production.» Le temps de qu'il faut pour que les objets prennent une valeur inouïe et qu'il ne s'inquiète pas pour la suite ? Remarquez, j'aime bien Starck malgré tout, et le travail de qualité qu'il aura fait. Mais nos discours en design sont parfois...un peu discordants et luxueux.
article >
______________________________________________________