SORTEZ VOS PATINS ;-(

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RAIES et POISSONS
La biodiversité se porte mal, les changements climatiques vont bon train, l'empathie est noyée dans les centres d'achats et on se demande pourquoi c'est si déprimant. Alors on prend ses patins pour se changer les idées...
Trouvez le lien entre patinoire, raies et poissons lien

Le lien au départ, devait mener à la pétition pour faire fermer cette patinoire du Japon. L'opinion publique a tellement réagit que c'est maintenant chose faite. Cela démontre encore que le citoyen(ne) informé qui s'indigne d'une situation, peut agir, et avoir du poids.
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HEUREUSEMENT QUE MON CHUM EST FÉMINISTE.

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LE FÉMINISME...
et ses détractaires !

Un sujet d'actualité, -plus que jamais on dirait en ce moment-, plein de potentiel.
Rue 89 le constate, certaines personnes (ici des femmes) ont la mémoire courte, des lacunes d'éducation sociale, ignorent les concepts de solidarité et d'équité ou encore mélangent simplement tout et n'importe quoi. On n'est pas sortis du bois dit l'expression.
Moi je me dis que j'aurais dû y rester. On aurait dû.
http://rue89.nouvelobs.com/rue69/2014/07/15/consternation-fut-elles-posent-contre-feminisme-253721

Les féministes -comme les écologistes et les environnementalistes- sont critiquées, pendant que la violence faite aux femmes trouve des alliés, gagne du terrain, impose ses lois, tout comme une majorité assouplie les règles pour l'industrie du pétrole, défend le gaz de schiste et encourage la dégradation sociale et environnementale jusqu'à la catastrophe. Comment restez tranquilles et ne pas s'indigner.
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22 AVRIL, UN JOUR TOUS LES JOURS.
J'écris les mêmes mots ou presque chaque fois. Le jour de la Terre, l'occasion de célébrer, de diffuser, de poser comme d'encourager les gestes concrets qui se font en faveur d'un avenir commun, collectif, et terrestre. Un avenir empreint d'empathie écologique, de compassion pour tout le vivant, humain, non-humain, pour tous les écosystèmes. Une prise de position visant à contrer l'Écocide en cours, chaque jour, tous les jours. Mais chaque chose essentielle (et non-essentielle...) se voit souvent attribuer une -date- afin de se rappeler à nous. Ainsi, bien que ce soit le 21 avril qu'on ait célébré et qu'on ait marché, pour le jour de la Terre l'an dernier, depuis 2012, le 22 de ce mois ravivera désormais chaque année de vibrants souvenirs.

Il pleut. En ce jour, je souhaite garder en mémoire et honorer tous les militants de la terre, de l'écologie, de l'environnement, tout particulièrement celles et ceux qui ont payé et payent chaque semaine de la leur, pour la défense et la protection de ce que nous avons de plus précieux, la vie. (Quelques liens sur le sujet Guardian, l'étude Deadly Environment)

Je souhaite bien sûr me rappeler en ce 22 avril, comme chaque jour, de mon «lien», de notre interrelation à la terre, de ce -tout- indissociable que nous formons, du tout que je forme avec chaque parcelle de feuille, de chaque espèce, de chaque molécule d'eau ou d'oxygène. Ce à quoi Capra fait référence et nomme beaucoup plus justement dans son ouvrage -the web of life-, «the interconnectedness of all parts», de ce tout (whole). Je souhaite me rappeler de ce qu'Arne Ness entend entre autres, lorsqu'il parle de «deep ecology» : qu'il s'agit de poser des questions plus profondes (trad.libre de -asking deeper questions-). Et à nouveau de Capra (comme de bien d'autres encore en éducation environnementale), que l'humain s'attarde à devenir plus renseigné en terme d'écologie «ecoliterate», que chacun s'applique à comprendre plus profondément les principes d'organisation des communautés écologiques (écosystèmes), comme modèles d'inspiration, de pensée et d'agir.
jourdelaterre.org
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LIBERTÉ ET DROITS DE LA MUSIQUE.

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MUSIC FREEDOM DAY / AUJOURD'HUI 3 MARS
«LA MUSIQUE, UN DROIT DE L'HOMME» _freemuse.
La musique, un art dont la liberté d'expression est encore trop souvent menacée et dont la censure est courante. Au Soudan, en Afghanistan et en Chine, la violation des droits des musiciens sévit, en ex-Yugoslavie les musiciens sont parfois victimes de politiques limitant l'expression musicale. États-Unis, Russie, Turquie, Niger, Cuba, Iran, Zimbabwe et ailleurs, on retrouve diverses formes de censures musicales. Win Maw dont les paroles supportait Aung San Suu Kyi a été emprisonné de 1997-2003. Lapiro de Mbanga passera le Music Freedom Day en cour, au Cameroun. Sa pièce “Constipated Constitution” lui avait valu de passer 3 ans en prison.

Du XIXe siècle à aujourd'hui, Wagner ou McCartney, cela ne date pas d'hier et se poursuit, comme le relate le site Freemuse. Billie Holliday pour une chanson défendant les noirs en 1939, Frank Zappa, Johnny Cash, les Beatles, les Rolling Stones et Bob Dylan durant les années 60, Sinead O'Connor et John Lennon en 1990, pour n'en nommer que quelques-uns, font partie de la petite, mais trop longue histoire de la censure musicale sur tous les continents, qui est ici répertoriée >

Freemuse>
L'événement Music Freedom day>
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OSCAR OU POLAR ?

photo©Lyne Lefebvre / Californie.
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LE 27 FÉVRIER.
Jour des Oscars pour certains, jour des Ours polaires pour d'autres.
J'en étais à parier que les cérémonies des premiers, en terme d'empreinte écologique, seraient bien loin de pouvoir résoudre les préoccupations des seconds. Et loin de moi l'idée de condamner le cinéma ici, bien entendu, mais un événement hollywoodien écoresponsable, avec compensation carbone, sans diamants de sang, ni d'huile de palme, ni limousine SUV, avec des robes de coton biorecyclées, des canapés sans viande, sans OGM et sans poisson qui ne soit issu d'une pêche durable, se pouvait-il ? Serait-ce forcément de l'écoblanchiment ? Un oxymore ? On pouvait donc se réjouir de savoir que le Tapis Rouge change de couleur... il est fait de bouteilles de plastiques recyclées cette année, l'énergie utilisée pour la soirée est issue de source 100% renouvelable, la vaisselle est recyclée, les couverts sont compostables, le repas local et biologique, le compostage se fait sur place, le plastique, l'aluminum, les bouteilles et le papier seront recyclés et on y verra plein d'efforts individuels de souliers amis des animaux.

Plusieurs diront que j'exagère encore. Mais si on ne fait jamais de parallèles, aussi discutables soient-ils pour d'autres, aussi bien ne rien dire. Ça me -tentait- de donner la parole aux Ours le 27. Et j'ai appris qu'Hollywood se forçait.

Creusons. Oscar (18.000$) est fait de britannium, un alliage d'étain et d'antimoine, plaqué de cuivre, de nickel, d'argent et d'or 24 carats peut-on lire un peu partout, sur le web soit, mais imaginons que les sources soient fiables. Sans connaître la provenance de ses matériaux, et malgré mes grandes lacunes en matière de chimie, on peut cependant lire que l'antimoine et la plupart de ses composés sont toxiques. Santé Canada a d'ailleurs émis une norme maximale de concentration d'antimoine acceptable pour l'eau potable. Ouf, on ne boit pas Oscar.

J'en ai profité pour lire que la pénurie de métaux durant la Seconde Guerre mondiale aurait donné lieu à des Oscars en plâtre peint. Verra-t-on un jour un Oscar en matière recyclée sans parler de recyclable puisque l'objet est censé être éternel...? Les changements climatiques suffiraient-ils ? Quelqu'un refusera-t-il cet Oscar à contenu possiblement non durable ? Qu'en dirait Michael Moore?

Je lèverai mon verre aux initiatives, mais aux documentaires sur les ours polaires ce soir, avant tout.

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COMPLÉMENT
En avril dernier, la Maison Blanche se targuait d'organiser le diner le plus écoresonsable de sa catégorie -black-tie-, encourageant ses invités - souvent les mêmes que ceux des Oscars- au co-voiturage, à l'utilisation de voitures hybrides, à l'achat de compensations carbone pour tous ceux qui ne venaient pas de Washington, privilégiant les produits locaux et biologiques, dont les surplus étaient remis à un organisme central de distribution de nourriture. Il faut préciser que ce diner (2600 invités) visait le noble mandat de remise de 132 000$ de bourses d'études à 42 étudiants en journalisme. Toute initiative pouvant porter à la critique, on y apprend cependant que le New York Times boycotte cet événement depuis 3 ans, préoccuppé par l'image de copinage avec l'administration officielle, qui pourrait coller aux journalistes.
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ÉPUISÉ...L'ÉTIQUETTE NE DIT PAS TOUT

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LE LOGO -SANS DAUPHIN- ÇA NE SUFFIT PAS.
Même si l'on sait que les filets capturent des tortues, des marsoins, des oiseaux marins, des requins pour les rejeter morts...ça m'épuise moi aussi, juste de penser aux douleurs de la vie marine, mais là n'est pas le sujet d'aujourd'hui.

Le classement des coupes de forêts anciennes ou de produits électroniques de Greenpeace (que je mets à nouveau dans ce billet) peut sembler plus pertinent à retrouver sur ce blogue, que celui du thon en conserve. Pour moi, l'un et l'autre vont de pair, et un consommateur averti est aussi un designer plus éclairé. Dans notre univers esthétique, plusieurs croiront que l'on fait des choix principalement en fonction des -qualités visuelles- d'un produit, d'un emballage. Heureusement, les étudiants qui auront suivi les cours de problématique et d'emballage, entre autres, donnés chez nous, auront, en principe, des exigences plus grande encore et des préoccupations complémentaires dans leur quotidien, comme dans leur pratique.

Le bon design c'est comme la bonne pêche, il se doit désormais d'être responsable. Greenpeace a toujours fait, en plus de son boulot environnemental, un excellent travail de communicateur en nous renseignant constamment. En plus de savoir quels thons et tout ce qui s'ensuit risquent d'y passer en premier, on sera aussi en mesure de refuser de faire de l'écoblanchiment (greenwashing) le jour ou l'une de ses conserves nous demanderait de lui redorer l'arrête et ainsi, de mettre tout le monde en boîte.

LE THON En savoir plus >

LE GUIDE ÉLECTRONIQUE produit par Greenpeace et un PDF complémentaire sur les technologies qui souhaitent offrir des produits plus écologiques..

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CRITIQUE DES UNS, PUIS DES AUTRES...

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BEAUTÉ ET DÉFORESTATION
Les premiers nous mettent en garde contre le mensonge entourant l'univers de la «beauté» telle que présentée aux jeunes filles. Les seconds nous mettent en garde contre le mensonge derrière le premier. À regarder l'un à la suite de l'autre...
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UN FILM CONTRE UNE INJUSTICE FLAGRANTE.

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VOUS N'AIMEZ PAS LA VÉRITÉ : 4 jours à Guantanamo.
Documentaire bouleversant de Luc Côté et Patricio Henriquez, sur Omar Kadhr. Un interrogatoire de 4 jours mené à Guantánamo par les services secrets canadiens, est ici décrypté et commenté par divers intervenants.


> Dans leur documentaire, les deux cinéastes, en plus de montrer des extraits de l'interrogatoire, nous présentent le témoignage du tortionnaire Damien Corsetti, surnommé « le monstre ». « Il a admis avoir commis des atrocités, mais il n'a jamais touché à Omar Khadr parce qu'il refusait de s'en prendre à un enfant, raconte Patricio Henriquez. Il s'est demandé comment il se faisait qu'un tortionnaire comme lui avait plus de compassion pour un enfant, que son propre pays. »
lien radio-canada>

Le bourreau fait donc son mea culpa et ne cesse de répéter que c'est un enfant qui était en face d'eux. Plusieurs des anciens compagnons de cellule d'Omar, libérés sans condamnation, certains devenus avocats ou défenseurs des droits humains, prennent aussi position en faveur d'Omar dénonçant l'indéniable injustice qu'il subit encore à ce jour. Je vous invite à entendre le commentaire des réalisateurs Luc Côté et Patricio Henriquez. L'avocat d'Omar Khadr, était sur place, aux côtés de ces derniers et a pris la parole durant la soirée d'ouverture du FNC (festival du nouveau cinéma), pour nous livrer un touchant témoignage lui aussi.

RÉALITÉ
Avant même la sortie de ce film, on pouvait difficilement rester insensible à la cause de quiconque est à 15 ans, criblé de balles, torturé, humilié. Peu importe sa culture, ses origines. C'est incompréhensible et son emprisonnement illégal de surcroît. On ne peut davantage contester qu'à 15 ans, que ce soit de son propre chef ou enrôlé malgré elle, toute personne mineure participant à des combats armés, est décrétée enfant-soldat et que l'on se fait un devoir de leur apporter de l'aide pour leur réhabilitation. Omar, seul survivant, retrouvé criblé de balles dans le dos et couvert d'éclat d'obus, gisant inconscient dans les décombres d'une maison suite à l'assaut de militaires du Delta force (force de combat américaine protégée par le secret), cet enfant méritait des soins, de l'aide, de la compassion. Qu'il ait réellement tenu ou non une grenade dans ses mains, et qu'une grenade ait tué un militaire américain du Delta force ne change pas la réalité : Omar Khadr est le seul prisonnier occidental à ne pas avoir été rapatrié dans son pays d'origine. Et c'était un enfant.

La démonstration des réalisateurs est criante d'injustice.
Malheureusement, la sortie en salle n'aura lieu qu'à compter du 29 octobre, alors que la suite du procès d'Omar aura lieu le 25.

Pour une meilleure compréhension du cas d'Omar. Pétition, action, etc
Lien Amnistie >


Coalition visant à mettre fin à l'utilisation d'enfants dans les combats armés. Protocoles et engagements.


Je me rappelle encore le témoignage de China Keitetsi, enrôlée à 8 ans, aujourd'hui une jeune mère épanouie grace aux programmes d'aide d'organismes défenseurs des droits humains comme Amnisitie.
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FINIR EN TARTARE

Le sourire qui tue.
© Lyne Lefebvre / La Boqueria, marché de Barcelone 2010
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À CHAQUE JOUR SUFFIT...
Aucun lien avec le design, mais je n'ai pu m'empêcher.
Alors qu'octobre évoque au Québec, depuis 40 ans cette année, les événements du même nom, le 1er octobre 70, on enterrait Jimi Hendrix . À cette même date en 1920 naissait Bonnie Parker, en 1962, James Meredith devenait le premier étudiant noir à l'Université, et en 1989 on célébrait les premiers mariages gais à Copenhague. Comme il y a des journées internationales pour presque tout, le 1er octobre, est aussi la journée internationale de la musique pendant qu'au Japon, on change de garde-robe ! (koromogae)

Mais depuis 1977, pour certains, c'est aussi censé être un petit répit, sans le stress de se voir conduire à l'abattoir ou de finir en tartare, du moins aujourd'hui... C'est la journée du végétarisme, et je vous invite donc à y prendre goût.

Un documentaire>
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CE NOUVEAU STYLO BIODÉGRADABLE SERA-T-IL DE MOINDRE IMPACT?

DBA 98 Biodegradable Pen from DBA on Vimeo.

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S'ILS LE DISENT, CE DOIT ÊTRE VRAI.

Mon collègue Sylvain en a parlé sur son blogue jeudi dernier. Threehugger et PacBec en ont parlé cet été. Je me joins donc à la bonne nouvelle. Je partage ces mêmes préoccupations d'espérer les éléments les plus responsables qui soient, et persiste à croire qu'il faut encourager et féliciter les développements en ce sens. Je n'ai certes ni la compétence de contester, ni de savoir si c'est effectivement le seul au monde, mais sa description est assez convaincante. Par contre…

Il y a eu le bio-pen, le greenPen, le vegetal-pen, les qualités du BeGreen, les produits Remarkable de l’université de Kingston en 96. J'ai déjà lu que le Green-Pen en bioplastique (Mater-Bi) figurait parmi les meilleures avancées. Et que Bic était le fabricant le plus engagé dans le développement durable !

Peut-être que DBA 98 est effectivement le -seul et unique-. C'est possible. Je me méfierai personnellement de l’affirmer. Ou que ce serait pour autant la meilleur solution. Je me dis que les informations seront validées et comparées entre-elles, par des spécialistes ingénieurs, chimistes, puis critiquées ou appuyées par des analyses de cycle de vie et différentes études. Aussi décourageant cela est-il parfois, mes lectures, puis mes cours en Développement durable auprès de Jean-Sébastien Trudel ou mes formations à l’IDP (institut de développement de produits) m’ont appris qu’il est complexe et laborieux d’affirmer être en face de l’idéal, avec certitude, en matière d’impact.

Plusieurs stylos sur le marché se targuaient d'être 100% biodégradables, ou compostables (procédés qui ne sont pas tjrs éprouvés, ni sans autres dangers), fabriqué à partir d'amidon issu de la culture du maïs, même sans OGM, du sucre, du blé, ou comme celui-ci, de la pomme de terre pour la production de bioplastiques, et encore sans métal ni matière plastique, issus d'énergies renouvelables, de semences biologiques et certifiées Ecocert, entièrement recyclés et en papier certifié FSC, collé avec de la colle à la caséine (protéine du lait), créés et imaginés dans des laboratoires de pointe. Lequel est le seul? Est-il le meilleur? La patate échappera-t-elle à la critique ?

Ce stylo est-il celui qui sera de moindre impact environnemental, pour nous, ici, aujourd’hui, au Québec?

Bref, c'est toujours complexe. Je me demande ce que le Ciraig ou Jean-Sébastien Trudel nous répondrait concernant ce stylo, mais j’ai tendance à penser, comme nous l’aurons vécu pour le sac papier vs les sacs plastiques en tous genres, qu'il y aura des études et des débats. L’aspect rechargeable (dont ils ne parlent pas) semble peut-être encore à développer ? Le crayon qui se désagrège aura-t-il une durabilité aussi limitée que les sacs d'amidons ?

Ça me rappelle une anecdote que vous connaissez probablement. Les Américains avaient développé autour de 1968, moyennant de laborieuses et coûteuses recherches, un stylo qui fonctionnerait en apesanteur (FisherSpacePen). De leur côté, les Russes avaient donné à leurs astronautes... des crayons de graphite !

Interview >Tous les produits biodégradables ne sont pas écologiques.

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LE LUNCH DU «GREEN GEEK»

Photo:©pwka, sur Core77
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ou LE BAGEL D'UNE RENTRÉE NUMÉRIQUE
Petit détournement ingénieux, aperçu sur Threehugger (qui l'a lu sur Core 77, qui l'a lu sur via coudal etc.) Le boitier range de 1 à 3 bagels, selon votre appétit ou votre niveau de consommation de DC.

Maintenant, l'emballage DC en question contient-il des phtalates ?
À voir à ce sujet, le déconcertant reportage d'Arte, que m'avait fait suivre mon collègue Sylvain Allard : l'emballage qui tue. Bien que nous ne nous étonnions plus réellement en matière de toxicité de multiples produits et matériaux, nous nous en indignons cependant toujours. Le consommateur averti, exigeant, voire engagé, peut faire évoluer certaines choses.

Au lieu de sa pomme empoisonnée, la Blanche-neige moderne se verrait offrir du Nutella et son Prince charmant serait infertile.
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VENDREDI OU LES LIMBES DU PACIFIQUE

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SALE VORTEX / THRASH VORTEX
Le sujet du sac plastique nous semblera moins d'actualité qu'il y a quelques années puisque nous avons progresser depuis que Vendredi rencontrais Tenn et Robinson, sur son île (Tournier, 1967). Nous avons appris aussi depuis, que le sac papier n'était pas forcémment de moindre impact environnemental que le sac plastique, mais je vous invite tout de même à regarder cette bande-vidéo, voire, peut-être à en apprécier l'ironie.

lien complémentaire>
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Il y a encore quelques poissons en vie.

OFFF Paris 2010 Sponsors titles from Julien Vallée on Vimeo.
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ON AIME JULIEN VALLÉE.
Durant mon absence, hors blogue et en Europe, les nouvelles de l'été, propres à révolter n'importe qui, entre catastrophe écologique Bp et Mexique, les arrestations de manifestants anti-G20 à Toronto, (dont le fils d'un ami, Vincent) en passant par la situation en Grèce, les violences en Irak, la manif pour l'autonmie Catalane à Barcelone, les tensions Vénézuélienne-Colombienne, ou la rupture du pipeline au Michigan, les corruptions, les inactions, sans parler des droits humains et environnementaux bafoués un peu partout sur la planète, il y a matière à réagir chaque jour.

Il s'agissait peut-être de tomber sur quelque chose de rafraîchissant pour me donner envie de mettre un petit billet positif, en vue de me replonger dans l'univers de ce blogue. Bien que ce ne soit pas le premier article parlant de lui, loin de là, j'avais cependant eu le plaisir de lire au loin, fin juin, une chronique vantant la qualité du travail de cet ancien étudiant, Julien Vallée, dans la version papier d'un exemplaire de Libération (un extrait).

Je vous laisse apprécier par vous-même l'un de ses petits bijoux de créativité. Julien m'a rassurée, non pas que le cycliste Olivier s'en soit sorti indemne, mais que le poisson rouge est toujours en vie. Ouf!
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FACHÉE/ VéloVolé

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FACHÉE DE CET ANAGRAMME
VÉLO -VOLÉ.
Comme je le disais, je me suis fait voler mon vélo. Je me suis calmée un peu verbalement depuis, mais si vous voyez ce vélo, noir mat, merci de me le signaler.
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INSUPPORTABLE

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COMMERCE DE FOURRURE
Bien sûr, plusieurs humains connaissent un sort aussi atroce que celui que l'on réserve à certains animaux. Heureusement, il y a des ATSA , Amnisite, Reporters, Médecins et autres sans frontières, un peu partout en ce monde, pour veiller à venir en aide aux plus démunis. Mais la chine, qui semble passée maître dans l'art de plusieurs abus, ne cesse de donner lieu à des images insoutenables à mon sens. Une intervention urbaine comme celle de Neozoon n'en devient que plus pertinente encore pour ceux qui sont ici, considérés parmi nos fidèles amis. Voir le billet Des animaux dans la ville >
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UN CORBEAU PARMI NOUS !

encore mon ami Alain Pilon.
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J'ai eu la surprise, un goût amer, de voir une -campagne-, placardée façon corbeau, (syn. de délateur anonyme, sorte de traître finalement.) Là se trouve mon indignation. Les 8,5 x 11 collés sur toutes les portes, dans les escaliers, dénonçaient anonymement, un manque de mise-à-jour du site de l’École. J'ai aussi éprouvé de la tristesse en lisant mon collègue Sylvain se sentir, injustement, mais personnellement attaqué, bien qu'il ne peut certainement pas être tenu responsable d'être celui qui a bien voulu s'impliquer, s'investir, à faire le site lui-même, et à nouveau, parce qu’il est, malgré lui, l'un des rares à y connaître quelque chose parmi ses collègues, pour que nous ayons cet outil le plus rapidement - possible.

Sans avoir le besoin de défendre celui qui n'a pas à se reprocher quoi que ce soit, j'ajoute tout de même pour informer le corbeau que la mise-à-jour du site, comme d'autres aspects de l'École, devrait relever à l'heure actuelle d'une grande institution, appuyée par une grande équipe et soutenue par une grosse structure. Mais c'est souvent le travail acharné d'un individu ou de quelques petits groupes, qui se trouvent à la base des actions de l'École. En sa qualité de nouveau directeur et de tout ce qu'il veille à suivre, écouter, agir et améliorer, Sylvain fait déjà énormément. Encore faudrait-il poser des questions d'abord. Parler de budgets par exemple. Il serait trop long d'expliquer le fonctionnement d'une École, qui se développe souvent sur l'implication de chacun de ses professeurs, de ses chargés de cours, de ses étudiants, de ses différents comités, de ses employés, par le partage de tâches. Non pas sur des budgets souvent non disponibles ou inexistants, qui permettraient d'offrir à une main-d'oeuvre étudiante qualifiée en ce sens, de bons programmeurs par exemple, un salaire permettant la réalisation de projets essentiels. Quand on croit constater quelques lacunes, chercher à trouver des solutions, proposer des alternatives, semble être la voie à envisager en premier lieu, sans pour autant opter pour une campagne -Cheap Shot- pour reprendre le niveau de langage du/des corbeau(x). On n’est pas en politique municipale ou en train d'attaquer nos élus. On ne mène pas campagne pour le respects des droits de l'homme face à un ennemi fermé, on peut se parler, on est censé être (à mes yeux) dans une École, créative, engagée, solidaire, (j'ose espérer), pleine d'idées et tournée vers la communication, où les diverses associations et individus sont prêts et dévoués à -entendre- les commentaires, critiques et propositions.

«Fail d'actualité»... pas très français déjà. Ou «Yeah right»… super ligne publicitaire, ça sent l’embauche directe! Opter pour l'accusation facile. Je vois mal un designer/étudiant ou pas, ne pas revendiquer le crédit d'une affiche, d’une campagne qu'il/elle aurait réalisée. Pourquoi donc ne pas OSER signer une campagne de dénonciation ? Mais surtout, pourquoi ne pas se servir des canaux empreints de délicatesse qui peuvent faire d'une structure impersonnelle, une entité constructive comme est censée l'être une École, notre École. La discussion d’abord, la recherche de solutions, le constat de difficultés -informées- et la mise à profit de nos compétences respectives en vue de trouver des solutions, m'apparaîtront toujours comme la solution de départ...

Je me dis que le corbeau en question, n'a pas (j'espère) suivi, ou encore aura choisi de faire fi des idées que souhaitent véhiculer le cours de problématique où l'opinion et la prise de position sont très encouragées, mais où l'action qui s'y rattache, est cruciale. Qu'assumer et signer ses opinions en fait partie. Et que dire de la recherche d'informations éclairées en premier lieu, qui assure une conception juste et pertinente. Notre invité nous a parlé d’un exemple de corbeau, en cours la semaine dernière. Et on en a un parmi nous ! Ou pas très loin...

J'inviterais donc, comme dans tout projet de revendication, de provocation, celui/ceux ou celles qui s'indignent, à se manifester haut et fort en vue de s'investir corps et âme, mais encore, à se renseigner d'abord, sur les réalités et les actions possibles, afin de changer son environnement immédiat... un petit geste à la fois, comme dirait Laure Waridel. C'est notre École à tous.

On a un beau site web tout neuf, encore dans sa boîte, mis au point par les soins de Sylvain avec une étudiante, site qui existe depuis un petit moment déjà, qui n'attend que quelques sous afin de pouvoir embaucher dignement une main-d'oeuvre qualifiée, pour voir sa mise en place complétée, pour voir le jour bientôt...

Si je savais programmer, j'offrirais mon aide volontiers.
Je prête sûrement le flanc à la critique, mais au moins, je signe :

Lyne


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VERT QUI ?

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DANS LA SÉRIE ON AURA TOUT LU, JE M'INDIGNE
Une nouvelle formule qui vient de faire son apparition me sidère ce matin...et donne suite à nouveau, à mon billet publié plus bas Swimming, Surfing ou CrowdSourcing.
Je vous le cite:
Assistez au premier Green Dating au Québec
Oui, moi aussi je me suis dit : c'est quoi cette connerie ?
Un bar irlandais ou se faire de nouveaux amis? Un -speed dating- tout nu dans un champ? Une version écolo de la saint-valentin ?

La réponse:
Une occasion unique de rencontrer vos nouveaux partenaires d’affaires « verts » lirais-je.
Green Dating suivi d’un cocktail réseautage...

Ouf !
Au moins y'a pas le mot -cocktail dînatoire...
Zut, ça vient de Novae que je respecte tant. Comme quoi, nul n'est parfait.
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ÇA CONTINUE...

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EN FRANCE, chez Décathlon.
Avoir lu le billet précédent intitulé Swimming, surfing aide à suivre.
Le beach rugby, le street soccer, le free ping pong, le why golf, le nordik hikking, le outcourt, le fitness everywhere Ouf...il reste au moins la marche quoitidienne. Qui fait réellement courir le Français à sa perte ?
Voir sur>

...
C'est en lisant un billet du bulletin FeedBlitz et en y souhaitant regarder le nouveau site mouvement collectif de la STM que j'ai aperçu les mots cités plus haut.


L'accueil de ce site du mouvement collectif est vivant, gai, sobre et rafraîchissant. (Moins chargé que le site STM lui-même.) Une navigation simple et efficace. Le visuel bien adapté pour se coller à un environnement de transport et de signalétique. Un style -pictogramme- comme on les aime, quand ils sont à propos. (Je ne sais pas qui a fait le site. Sidlee?). Une approche visuelle qui pourrait s'apparenter à certains univers d' Antoine et Manuel.

Bien sûr, on ne croit plus toujours aux commentaires -véridiques d'usagers satisfaits- dans la logique actuelle des infos/témoignages, mais peu importe, on y trouvera, bien présentées, des infos pratiques et vertes.
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On a pas inventé la superposition du bleu et du jaune ni les uns ni les autres, mais je mets le logo que j'ai conçu pour mon blogue/labo C+Y, (logo en 2008). Histoire de ne pas me faire accuser de m'inspirer de la STM, le jour où je mettrai ce blogue/labo en ligne (il serait temps...). D'ici là, qui sait, il aura peut-être changé.
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Swimming, Surfing ou CrowdSourcing.

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C'est bien connu, les blogues, même s'ils souhaitent ou prétendent se concentrer sur un sujet, comme celui d’un cours, se teintent forcément des humeurs de ceux qui les tiennent et vont parfois dans toutes les directions. Ce matin, je me permets un billet d'humeur, justement, un peu fourre-tout.

Le mot vol à l'étalage existe encore. Mais plusieurs s’imaginent que le ShopLifting, c'est pour ceux qui ont plus de couilles.

J'accepte certaines réalités, sans condamner, je le jure. Que, dans les univers où l'éducation n'est pas chose accessible pour tous, on se tourne vers les anglicismes faute de connaître le mot d’origine ne me choque pas autant. Je me force même à adopter un langage de saine communication, pour ne pas sembler arrogante ou envers mon interlocuteur ou ignare à ses yeux. Le dash ou la drill, sont des classiques. Nous souhaiterons tout de même apprendre à nos enfants la richesse d’une langue, avec ses difficultés, contradictions et subtilités, dont les emprunts à d’autres langues feront partie. Ad vitam eternam, couscous, pinata ou tortellinis ne se traduiront pas toujours, et on les adoptera avec plaisir voire, avec fierté.

Il y en a partout, dans tous les univers. Que ce soit le SpeedDating, le SlowFooding ou le simple trekking. Me retrouver en France et lire, non plus simplement le Parking, mais le Carwashing ou le FrenchCoffeee bar, m'énerve presque moins que ce que je m’apprête à vous exposer. C'est tout dire. Les Français qui donnent des conférences chez nous me donnent souvent le tournis, (le VomitingFeeling). On est en train de les imiter. Je n'ai rien contre les français, j'en ai même plein ma famille et choisi un comme amoureux.

Ça m'énerve dès que j’en entends un. Pas un français, un ING J'en parle à mon chum frenchy, la plupart de mes étudiants le savent, mais ce matin, j'ai eu envie de le crier. Ça s’est passé en lisant sur un billet (post) de bulletin (newsletter) le mot : CrowdSourcing… (Conférencier francophone…pas British du tout. Martin Lessard. Je ne mets pas le lien, vous chercherez vous-même si le sujet vous allume.)

Là, j'ai, je crois, EXPLOSÉ (pété une coche, mes plombs, sauté une braquette, ou eut envie de me confronter au consultant du sujet… en counsulting comme vous voulez.)

Tous ces anglicismes traficotés et qualifiés de plus quoi? Évocateurs, justes, cool, tendances (trendy)? Tout ces ING... de notre milieu, véhiculant souvent des concepts pas toujours reluisants. On avait déjà le BrainStorming (mea culpa, je l'ai utilisé plusieurs fois par paresse, à défaut de dire -tempête de cerveau- ou plus simplement -recherche d’idées- ), puis du NameDropping dénigré, on est passé à la BigIdea, remplacée par le BuzzWord, suivi du Reality-check, du BtoB, du DirectMailing, du TeamTeaching, du LiveBlogging, du ShopperMarketing, du Sponsiring, du NetWorking, du WordSpreading, du OpenSourcing, du UnBoxing (attention un pas mal non plus.. Désemballage qualifié d'érotique des produits technologiques... Il faut le lire pour le croire... pour les «digital natives» y paraît > Plus et more à lire ici) puis, on fait attention au GreenWashing (écoblanchiement) avant de faire des conférences sur le CrowdSourcing (ou comment se servir des foules? la définition, bien que trouvée sur wikipedia, vaut la peine d'être lue. )
Gustave Le Bon, qu'on étudie dans le cours de psychologie des médias -Bac en design graphique-, aimerait ça. Bien sûr en français ce n'est pas beaucoup plus noble et on se moque tout autant quand on nous parle de marketing d'authenticité.

Y'a un mélange de choses qui me choque dans ces -concepts-. Le ING collé à tout, le non respect de ma langue maternelle, de la langue où je vis, je parle, je lis, j'enseigne, je conçois, et je ne pense pas simplement en terme loi 101. Est-ce le manque d'imagination? L’assimilation ? Le fait que ce soit lié à un verbe, lui-même lié au mouvement, à l'action? La commercialisation derrière ce ING…D’ailleurs ING c'est un concept de banque en ligne non? Les notions véhiculées sont dérangeantes. Le -Comment rejoindre le public cible des 0-5 ans- de nombre d'études marketing tout court, en français, me choque autant qu’en anglais, en espagnol ou en langage signé bien sûr. Alors le CrowdSourcing…

Je ne veux pas qu’on se méprenne, j'adore les langues. La langue anglaise, c'est ma langue paternelle, je l’ai apprise en même temps que le français. Mais c’est un autre débat, qui me passionne. Je n'en parle que 3, mais j'ai tenté d'en apprendre 5 et j'espère trouver le temps de m'y remettre.

Un peu à côté. Dans un cadre qui semble connexe à la Biennale, on assiste au phénomène de ShopDropping. Je vais attendre de me retrouver face au phénomène lui-même pour me prononcer sur l'effet ressenti. Un commentaire blogue doit être conçis pour être lu. Celui-ci passe déjà beaucoup trop à côté de cette vérité. Mais se défouler, c'est parfois un levier pour continuer à échanger et développer nos perceptions.
Shopdropping: >plus >more >mas

Heureusement qu'il y a encore des anglophones pour apprécier le FrenchSpeaking..

Le prochain qui me sort un BlogManaging, je pense que je le Kill, Bill.
D'ici là, je vais faire un peu de CouchSurfing vers la Louisiane, en me rappelant que la planète est -ReallyDying-. Isn't it.
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GRAFIKA

Image tirée du site Ratsdeville.
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LES TROUVAILLES DE PASCAL.
Le bulletin d'info ou newsletter de Grafika de ce matin où l'on retrouve les dernières trouvailles web de Pascal que j'ai toujours plaisir à découvrir. Si vous ne l'êtes déjà, profitez-en pour vous abonner. Une nouvelle qui piquait ma curiosité, me donne cependant envie de commenter le discours. Je cite donc Mélissa Nougier, initiatrice du projet qui dit: «Je trouve la carte Opus malcommode, et son design tellement incongru, si peu représentatif de Montréal et des Montréalais.....» Elle parle de «l'importance d'ouvrir le débat sur le positionnement de la ville et l'engagement de ses citoyens devant ses choix esthétiques.»

J'oserais pour ma part, proposer à la directrice artistique de Blue Communications en reprenant ses mots, que je trouve malheureusement le site de l'agence où elle travaille , peu représentatif de Montréal et des Montréalais, puisque le français devrait y figurer. Et que l'importance d'ouvrir le débat sur le positionnement de la ville et l'engagement de ses citoyens devant ses s choix linguistiques pourrait se faire plus souvent dans les bureaux. À moins de n'avoir pas trouver la navigation traduite, même l'adresse est en anglais. C'est plus Street, j'imagine. Malgré un nom un peu anglicisé... au moins le site de projet OpusLift est en français.
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