ENFIN, l'environnment gagne un procès graçe à quelques humains...
Il y a eu quelques gains du -public- dans le passé, dont j'ai déjà parlé, entre autres ceux d'Italiens contre des patrons Suisses d'Éternit, et ceux de quelques rares agriculteurs contre Monsanto , autant dire une fraction de grain de sable contaminé dans une mer empoisonnée, sachant surtout que c'est l'inverse qui se produit quasi systématiquement, hors cour, comme devant les tribunaux (que l'on pense aux pires écocides... Nouvelle Guinée, Niger, Alberta, Équateur, Brésil, l'Arctique, Madagascar, le Vortex ou le continent de plastique (plus d'un par ailleurs), bientôt Anticosti, etc...). On ne soulève ici que les 10 -pires- cas visibles, bien que l'on sache que de localiser ou circonscrire l'étendue apparente de l'Écocide donne l'espoir du leurre à certains, sachant que la catastrophe n'en reste pas moins planétaire et que nous la portons.
Enfin, puique le principe d'adaptation démontre que l'humanité a accepté de baisser les bras, il est toujours vivifiant de voir que certains portent, eux, ce combat en notre nom à tous, humains, non-humains, et écosystèmes comme je le disais récemment de d'autres activistes. Merci à Kevin Drake, Tim Hewke, Emily Hall, Will Rose, Ben Stewart et Huw Williams.
*lire aussi son bouquin éponyme
Higgins, P. (2010). Eradicating Ecocide. London, UK: Shepheard Walwyn.