PRENEZ POSITION 2015 (GR. 20)

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THÈME : ENVIRONNEMENT
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_______________________________________________________TES DÉCHETS DANS MON PIQUE-NIQUE

ÉQUIPE

Micah Rodney, Charles Comtois, Emerik Martin-Derome, Philippe Mathieu

ÉVÉNEMENT
Parc Laurier

Dans le cadre du cours de design problématique, nous avons décidé de prendre un sujet simple concernant l’ensemble de la population: les déchets. Que ce soit le gaspillage de déchets lié au suremballage ou l’abondance des déchets dans les lieux publics, il s’agit malheureusement d’une problématique encore présente parmi nous au quotidien.

En opposant deux périmètres, L’un représentant un espace public, et l’autre un espace privé, nous avons contrasté visuellement ce que nous tentions de dégager. C’est-à-dire à quel point nous pouvons négliger les lieux publics alors que nous soignons notre espace privé. Pour raffermir cette idée, nous avons rempli l’enclos de l’espace public de déchets que nous avons récolté à même le parc.

Ainsi, le parc Laurier nous semblait propice pour une telle cause puisque lors de l’été (2015) un achalandage élevé y a été remarqué. Les poubelles débordaient, des couvres feux s’imposaient et en parallèle la bisbille s’installait parfois entre les usagers du parc et la police. De ce fait, dû aux nombreux pique-niques, le parc était régulièrement malpropre.

De façon générale, La réception des passants fut très clémente. Certains prenaient des photos alors que d’autres prenaient la peine de nous féliciter ou de mener à bien une discussion

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THÈME : ENVIRONNEMENT  /  ÉCOÉNERGIE
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ÉTEINDRE POUR MIEUX VOIR

ÉQUIPE

Laurence Massé-Croteau, Sarah Audit-St Cyr, Agathe Morin

ÉVÉNEMENT
Rue Mont-Royal

Dans le cadre du cours de problématique il nous a été proposé de prendre position et d’adopter une pratique responsable sur un problème qui nous semblait important. Il nous a suffi d’ouvrir les yeux, la nuit, dans notre ville de Montréal, pour nous rendre compte qu’on ne pouvait pratiquement pas apercevoir les étoiles d’une part à cause des magasins qui, bien que fermés la nuit, restent entièrement allumés et, d’autre part, à cause des publicités lumineuses sur les panneaux d’affichages et sur les abribus. Mais nous avons découvert un autre problème : non seulement la pollution lumineuse nous empêche d’observer 97% des étoiles à Montréal, mais en outre le coût de l’électricité de la ville s’élève à 12,9 millions de dollars, ce qui est considérable. C’est principalement pour ces deux raisons que nous avons décidé de centrer notre réflexion sur cet important problème de la pollution lumineuse.

Nous avons donc souhaité que les passants de Montréal puissent lire des informations pertinentes concernant ce problème et invitant à la réflexion. Pour cela nous avons décidé de créer des pancartes noires avec les informations nécessaires écrites en défonces dessus, pour que les passants puissent lire et prendre conscience des problèmes liés aux lumières des vitrines et publicités allumées la nuit. Ces pancartes interchangeables viennent se placer à l’intérieur de notre boîte, pour maximiser la lumière diffuse et aider à la lecture.

Pour accompagner notre installation, nous avons souhaité proposer des petites cartes aux passants avec le message suivant : « Éteindre pour mieux voir », afin qu’ils puissent interagir avec notre projet et, à leur tour, les installer devant des vitrines allumées la nuit ; ils pourront ainsi, s’ils le souhaitent, participer à notre belle cause en continuité avec notre projet."


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THÈME : SOCIAL / PRÉJUGÉS
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http://ungrosmerci.tumblr.com/

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UN GROS MERCI

ÉQUIPE

Frédérique Garnier, Noémie Ouellet, Mélanie Masclé

ÉVÉNEMENT
Rues et quartiers divers

Un gros merci est un projet qui vise à abolir les jugements et les perceptions sociales face aux métiers en soulignant l’importance de chaque personne derrière toute fonction occupée. Nous avons décidé d’aborder cette problématique en créant une campagne de renforcement positif, d’où l’identité visuelle du merci. Nous tenions à récolter le plus de témoignages possibles de la part d’individus de différentes sphères et différents métiers afin d’obtenir un éventail représentatif et diversifié. Cette récolte s’est principalement faite dans la rue, où nous étions portées à entrer en contact avec les gens et à discuter avec eux de leurs passions, leurs fiertés et leurs expériences de vie. Le contact humain a permis un échange sincère, aussi gratifiant pour le locuteur que l’interlocuteur. Les témoignages ainsi que les portraits des participants sont maintenant diffusés sur un blogue, plateforme accessible et actuelle permettant sa propagation sur les réseaux sociaux.




D'AUTRES PROJETS À VENIR

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Vous pouvez consulter les travaux des années passées de même que les travaux réalisés auprès des étudiant(e)s de l'intuit-lab en France alors que j'étais leur invitée, ou encore, ceux réalisés auprès de Scott Burnham alors qu'il était mon invité pour la semaine de design international de l'École de design de l'UQAM, en 2008.

Cette approche de design graphique engagé et écoresponsable, de design écosocial ou de « créativité écosociale (2)» est au coeur des préoccupations de la professeure.

(1) Voir Centr’ere : Centre de recherche en éducation et formation relatives à l’environnement et l’écocitoyenneté.
(2) Le terme «créativité écosociale» s’inspire de la recherche en innovation écosociale présente au sein du Centr’ERE, et au coeur des travaux de Lucie Sauvé et Eva Auzou.