PRENEZ POSITION—GROUPE 20

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GROUPE 20

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LE CLIC DE TROP
Équipe
Pierrick Barféty, Gabrielle Genois, Jérémy Noël, Alexy Préfontaine
Sensibilisation/lieu
Installation d’un parcours sur la cyberintimidation
École secondaire Saint-Jean Eudes

Dans le cadre du cours de design problématique, la thématique choisie par notre équipe est la cyberintimidation chez les jeunes adolescent(e)s. C’est un sujet qui a beaucoup touché les gens ces dernières années, mais malheureusement, elle se produit encore chez bien trop de jeunes aujourd’hui.
Pour ce faire, nous avons décidé de concevoir une installation statique sous forme de parcours évolutif, qui permettrait aux jeunes de réaliser que les impacts de la cyberintimidation sont bien réels. Nous avons décidé de nommer cette installation « Le Clic de Trop ».

Le lieu choisi était le Collège Jean-Eudes, une école secondaire privée de Montréal. Il était important pour nous de réaliser l’activité dans une école secondaire, puisque les jeunes y sont beaucoup plus concernés par cette forme d’intimidation que tout autre niveau scolaire. Il était importantde trouver un couloir permettant à notre installation de bien ressortir du lot.

Les étudiant(e)s de l’école étaient invité(e)s à visiter le parcours durant l’heure du dîner. L’installation comprenait plusieurs éléments. D’abord, au plafond étaient accrochés 78 emojis de 6.5’’ de diamètre. Parmi la multitude d’emojis offerts, nous avions sélectionné ceux ayant une connotation négative (tristesse, colère, pouce en bas, inquiétude, etc.) afin de montrer aux gens ce qu’une personne peut ressentir lorsqu’elle est victime de cyberintimidation. En ajout à cela, on retrouvait des messages adressés aux visiteurs sous la forme de textos. On pouvait y voir 5 statistiques percutantes sur le sujet, ainsi que des messages s’adressant aux victimes, aux cyberintimidateurs et aux témoins. Finalement, une bulle de texte fournissait une liste de plusieurs ressources qui sont disponibles pour les jeunes en détresse.

L’installation comportait aussi un kiosque où l’on pouvait retrouver des billets permettant aux jeunes de laisser un témoignage, s’ils ont déjà vécu, vu ou fait de la cyberintimidation. Ces témoignages étaient collectés dans une boîte prévue à cet effet. De plus, pour propager un message positif dans l’école, nous avons offert des autocollants aux élèves qui ont contribués aux témoignages. Sur le collant se trouvait un bonhomme sourire et notre nom d’utilisateur Instagram (@leclicdetrop). Sur ce compte, on permet aux jeunes de revoir les statistiques et informations vues lors du parcours ainsi que plusieurs liens menant à des sites web d’organisations pouvant les aider. Pour conclure, ce projet nous a permis de créer un bel impact sur les adolescent(e)s de cette école secondaire en les sensibilisant sur la cyberintimidation, un sujet très important qu’il ne faut surtout pas banaliser.

Lyne Lefebvre se joint aux étudiant(e)s pour remercier Claudia Landry pour son aide.
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VACHEMENT HUMAIN
Équipe
Pierre-Jean Moreau, Julia Klarskov, Corinne Bachand, Rosalie Lemire
Sensibilisation/lieu
Sensibilisation à la consommation de viande

Derrière chaque morceau de viande, il y a un être vivant. Nous aimons les animaux et, pourtant, nous aimons les manger. C’est ce que l’on appelle le «paradoxe de la viande ». Dans le cadre du cours de problématique, nous avons décidé de traiter les enjeux entourant la consommation de viande bovine et la manière dont l’industrie traite les animaux. Le but de notre installation est de sensibiliser le public à l’enjeu moral et éthique entourant la consommation de viande. Nous voulons faire prendre conscience aux gens que derrière la viande qu’ils achètent à l’épicerie, il y a un être vivant sensible.

Contrairement à la croyance populaire, les bovins ne sont pas seulement qu’un aliment de consommation, il s’agit en fait d’un être capable de ressentir des émotions tout comme l’être humain.
Notre installation consiste donc en une représentation graphique en bois de l’espèce bovine que nous avons nommée Bernadine.

Le concept est de montrer, à première vue, les morceaux de viande tels qu’on les retrouve dans les boucheries. Nous avons élaboré un concept interactif où les gens doivent soulever la pièce pour y découvrir une émotion ainsi qu’une statistique se rapportant à celle-ci. Lorsque les pièces sont soulevées, on y dévoile ainsi la représentation générique d’un bovin grâce aux taches noires. De plus, nous avons placé une étiquette aux oreilles de Bernadine, qui rappellent l’identification des bovins, permettant au public de répondre à un questionnaire sur leurs habitudes alimentaires.
Disposée dans la cafétéria de l’UQAM, notre installation a eu un grand succès, les gens étaient curieux et il y a eu beaucoup d’interactions avec notre bovin en bois.
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AU SOMMET DES INJUSTICES
Équipe
Gabriel Cance, Maxime Chamberland, Marlène Dulude, Sabrina Jobin-Cossette
Sensibilisation/lieu
Escaliers habillés de phrases sensibilisant au profilage racial à Montréal.

Dans le cadre du cours Design : Problématique, notre projet visait à sensibiliser les gens à la présence de profilage racial à Montréal. Nous voulions faire réfléchir les gens par le biais de phrases et de citations choquantes par rapport à cette problématique. Ainsi, nous avons décidé d’installer différentes phrases sur les contremarches de trois escaliers à l’École de Design de l’UQAM, pour des raisons de sécurité. Idéalement, les lieux d’installation auraient été trois escaliers extérieurs de la ville, représentant diverses catégories de profilage racial : Interpellations par la police → Palais de justice de Montréal Minorité dans les médias → Place des Arts Inégalités dans le milieu du travail → Pavillon passant de l’UQAM.

Le choix d’escaliers comme lieu d’installation est métaphorique : il illustre une hiérarchie entre blancs et groupes ethniques. L’escalier amplifie l’idée que ces derniers se retrouvent toujours au bas de l’échelle. Ce constat se fait marche par marche, jusqu’au sommet, où le public est invité à dénoncer ces injustices. Pour cela, une affiche redirige le public vers le site web du projet (www.sommetdesinjustices.wixsite.com/escaliers), où les gens peuvent laisser un témoignage ou un commentaire. Le public peut aussi visionner la vidéo explicative du projet, pour ceux qui n’auraient pas vu l’entièreté des escaliers ou qui souhaiteraient le partager aux autres. Cela permet à l’installation de durer dans le temps malgré son côté éphémère.

Nos choix graphiques sont inspirés de la problématique choisie. Nous avons donc utilisé une palette de noir à blanc pour illustrer deux éléments : la dégradation dans le traitement reçu et les différentes teintes de couleurs de peau. Nous avons ajouté du rouge comme couleur d’accent afin d’attirer l’attention du public et de véhiculer l’aspect problématique / incohérent des inégalités vécues en raison du profilage racial. L’utilisation de filets sur les affiches et le site internet vise à rappeler les contremarches des escaliers et à accroître l’impact de certains éléments textuels. L’utilisation de police sans sérif facilite la lecture des étudiants montant l’escalier. De plus, offrant différentes graisses, elle permet de créer divers contrastes et de mettre en évidence l’élément central de chacune des citations.
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PAS JUSTE TA RUE
Équipe
Alexandra Bilodeau, Marie Chénier, Xavier Cyr
Sensibilisation/lieu
Sensibilisation au harcèlement de rue, Place Émilie Gamelin

Texte à venir.

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LES MARDIS VÉGÉ
Équipe
Eugénie Cyr-Lamy, Gabriel Chevrier-Turbide, Melissa Bérubé
Sensibilisation/lieu
Les mardis végés sont une journée sans viande au théâtre Ste-Catherine

Les mardis VÉGÉS ont pour but de promouvoir la gestion responsable de nos ressources via de saines habitudes alimentaires. L’idée est d’amorcer un mouvement au sein de la communauté étudiante afin de conscientiser celles et ceux qui seront possiblement les prochain(e)s à occuper des postes influents.

Le lieu retenu pour lancer ce projet a été décidé en fonction de sa proximité des installations étudiantes du centre-ville ainsi que pour son ouverture face à notre problématique. Le Théâtre Sainte-Catherine s’est engagé à offrir, durant ce mardi VÉGÉ, un menu qui serait en totalité végétarien. Les gens sont invités à l’événement à l’aide de plusieurs affiches offrant trois slogans et évoquant chacun des statiques-chocs, apposées à des endroits stratégiques du pavillon de l’École de design de l’UQAM. De plus, les personnes intéressées à en apprendre davantage sur cette cause sont invitées à prendre une carte de visite contenant d’autres éléments informatifs.

Une page Facebook a été créée afin de rejoindre un maximum de gens possible, dans un cours délai. Cette page a aussi été bonifiée de plusieurs publications, incitant les visiteurs à en apprendre davantage autant sur les effets environnementaux et sociaux associés à notre consommation de produits animaliers que sur les alternatives possibles. Lors de l’événement, nous avons invité les client(e)s à signer ou commenter un livre afin de suivre plus facilement le nombre de personnes qui se seront déplacées pour appuyer cette journée. Les client(e)s qui sont venu(e)s au Théâtre Sainte-Catherine et qui n’étaient pas au courant de l’événement sont pour la majorité restés, malgré un menu sans viande. Les commentaires reçus nous portent à croire que les gens sont ouverts à un changement d’habitudes à ce niveau.
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NOTRE MO[N]DE ÉPHÈMÉRE
Équipe
Cécile Tousignant, Chloé Miglierina
Sensibilisation/lieu
Corde à linge pour sensibiliser à une mode écoresponsable
Métro Mont-Royal

Dans le cadre du cours de problématique, notre installation avait pour but de sensibiliser les gens à l’enjeu entourant la mode éphémère ; phénomène grandissant actuellement surtout en occident. En effet, la plupart des grandes entreprises de mode bon marché emboîtent le pas à cette tendance qui n’est pas sans conséquence. Les statistiques le disent, les problèmes sont catastrophiques pour les pays en voit de développement et pour l’environnement. En installant une corde à linge à statistiques, notre but était de sensibiliser les personnes en affichant la vérité. En créant une boucle représentant le cercle de la consommation incomplète, on demandait aux participants de compléter ladite boucle en disant ce qu’ils feraient pour changer la mode éphémère. Éduquer les gens sur cette problématique est le meilleur moyen par lequel commencer. C’est pourquoi en installant une corde à linge à la Station Mont-Royal nous allions sensibiliser les gens dans les environs avec des faits choquants pouvant être facilement compris.

Nous avons choisi la station Mont-Royal pour son espace d’installation très visible à la sortie du métro en plus de son affluence assez constante à tout moment pendant la journée. Les visuels imprimés sur des t-shirts en carton recyclé étaient suspendus sous le toit du marché public fermé pour un maximum de visibilité. Une fois que nous avions capturé l’attention du public, nous leur demandions de se prêter au jeu et d’ajouter à la corde à linge ce qu’ils feraient pour une consommation plus éthique et écoresponsable. De cette manière, ils découvraient des solutions alternatives tout en partageant les leurs.

En plus d’avoir une participation active au projet, nous avons réussi à véhiculer les informations aux gens intéressés. Nous avons laissé l’installation durant 24 h et les gens ont tout de même participé activement au projet. La plupart on suggéré d’acheter seconde main, d’autres ont dit qu’ils fabriquaient leurs vêtements, etc. Le message a su bien passer et susciter l’intérêt de la plupart des passants tout en nous donnant l’opportunité de les renseigner en leur remettant notre carte de visite qui comprenait les ressources disponibles sur l’île de Montréal.
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