18.6.13

LA BELLE AFFAIRE... DU GREENWASHING INCESSANT

crédit photo non disponible sur le site 
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LA HONTE.
J'ai à coeur de me le rappeler régulièrement et d'en faire un incontournable sujet de cours, de mentionner à quel point il est important de lire non seulement les emballages, et actualités environnementales, de s'assurer de la crédibilité des certifications, et de continuer à nous renseigner sur tout ce qui touche et entoure notre environnement, notre consommation générale, de façon pointue et soutenue... les entreprises étant trop promptes au -greenwashing-. Et pourtant....je ne l'ai pas fait ici visiblement.

On s'en fait parfois passer facilement, si on ne cultive pas son propre blé, millet, riz, quinoa, kamut... et si l'on ne requestionne pas surtout, au fil du temps, notre confiance initiale parfois mal renseignée. Bien que ce ne soit pas ma céréale #1, j'en ai mangé des Kashi(s) cette dernière décennie... Ce n'était pas une entreprise locale, (bien que jamais je n'aurais imaginé de lien la réalité...), mais le reste ne semblait pas si mal. Il ne suffit pas de choisir un commerçant à priori vigilant lui-même, pour que tous les produits sur ses tablettes soient exempts de questionnement. Je le sais pourtant.

De sa «Organic Promess», sa prétention -sans OGM- ou de la taille de cette soi-disant petite entreprise, cet article (et d'autres) dénonce le contraire. Kashi serait une marque de Kellogs, sans parler des multiples affirmations mensongères, nocives et toxiques. De la céréale synthétique au malathion (un insecticide neurotoxique) au Round-up! On ne m'y reprendra plus. Du moins...pour un moment. Jusqu'à ce que je baisse ma garde sur un produit que j'aurai cru à tort équitable, éco et socialement responsable, bio, sans OGM, local, de moindre impact et tutti quanti...

L'article en question >
Un article datant de mai 2012>

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En attendant de me remettre de mon propre manque de vigilance (frustration), et de le lire moi-même (on peut se le procurer en version numérique), je vous invite à la lecture de :
Pour une écoalimentation, sous la direction de Lucie Sauvé, Nayla Naoufal et Eva Auzou, aux Presses de l'Université du Québec, et de :
Le Jardinier-Maraîcher, de Jean-Martin Fortier chez Écosociété, que je lis, et que mon chum met à profit en ce moment, pendant que je vous écris.

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