14.3.13

L'ENFANCE


Kenya


Islande


Ukraine


Maroc


Nicaragua


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André me faisait suivre ce lien ce matin. Que tous ceux qui sont sur Facebook et s'intéressent à la photo connaissent probablement déjà... Chacun saura apprécier cette série, peu importe son regard. Je le dis suite à une observation de mon ami Jean-François, que je m'étais faite également.  André lui, avait une autre observation très intéressante. Jérémie aussi. Je tairai tout ça, pour laisser à chacun sa propre appréciation de ces portraits d'enfants et de leurs jouets préférés, issus18 mois de voyage du projet «Toy Stories» du photographe Gabriele Galimberti
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Et, dans l'esprit enfant/univers, là où les enfants dorment, du photographer James Mollison. Issu de son bouquin «Where Children Sleep.»
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Gérard lui, m'envoyait ce lien, abécédaire/typo

C'était de classer les couleurs de leurs pelotes et échantillons qui me fascinaient. Mais à l'aide de broches de toutes les tailles, points mousse et points en tout sens, j'ai vu prendre forme d'innombrables tricots. Mère, belle-mère, grand-mères ; foulards, chaussettes, chandails et mitaines. Ma grand-mère avait appris à faire à l'aide de cintres en métal en guise de broches se plaisait-elle à me répéter.  J'ai vu ma grand-mère Ella faire d'incroyables et immenses nappes au crochet, et l'art de la dentelle n'avait aucun secret pour elle.

Ma mère Françoise a fait courir ses doigts et points de croix, sur des toiles perforées, pour donner vie à des scènes du quotidien en broderie toute sa vie, ma belle-mère Yvonne en fait des nappes où chacun de nous, au fil des naissances et des amours voit son prénom se broder sous son assiette, mon voisin Roger faisait du macramé et mon père Fernand, avant sa retraite, des tapis rétros en laine pour chacun des siens, et de ses amis. Je regrette le mien. Il était orange et brun. Très -vintage-. Je me suis moi-même risqué à la couture, j'ai fait plein de vêtements pour ma fille Jérémie, des rideaux, et des couettes pour mes amis, mais les matériaux qui me passionnaient vraiment étaient moins fragiles. J'ai un faible plus marqué pour le bois et le métal.

Aujourd'hui, avec nombre de groupe de femmes à travers le monde (comme de vieux billets en font dans ce blogue état) c'est Marilyn, notre -bru- si je puis dire, que je vois tricoter. Les motifs et motivations diffèrent, mais la patience voire, la passion sévit et séduit toujours. Le fil, la couture, la broderie, la laine ont retrouvé leur -lettres- de noblesse depuis plus d'une décennie. Ça devrait plaire à Sophie Pépin, entre autres.


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