PROJET FINAL / PRENEZ POSITION

COURS DE PROBLÉMATIQUE / LA VILLE COMME CANEVAS
Projet final dans le cadre du cours de problématique, les étudiants se sont penchés sur la résolution d'un problème d'intégration du jeu urbain, tant dans l'esprit de ce que Scott Burnham avait proposé l'an dernier, alors qu'il était mon invité en design international, que de celui du -land art- version ville, ou des différentes interventions/installations de type guérilla urbaine. Une contrainte éducative était ici incontournable, celle de prendre position en vue de sensibiliser à une réalité sociale, politique ou environnementale, à son environnement somme toute, et de se prononcer en ayant la ville comme canevas en tête. Le climat québécois pour sa part, aura influencé, découragé, joué en faveur ou à la défaveur de certains projets.
L'intervention qu’elle soit éphémère ou non, se devait d'être sans impact néfaste sur l’environnement, sans dégradation de ce dernier.

note:
Les auteurs des descriptions de projet, en italique, sont seuls responsables de l'orthographe de leur texte respectif. Pour ceux dont les textes en pdf ne sont pas -cliquable-, une courte phrase en fait le résumé. Pour certains, les textes ont été raccourcis. Pour quelques-uns, il n'y avait pas de photos d'accompagnement du projet en jpeg.

L'ordre de présentation est aléatoire. Vous êtes bienvenus à m'envoyer un texte par courriel, si vous souhaitez compléter, corriger ou modifier une description de votre projet.
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SENSIBILISATION AUX ABUS FAITS AUX ENFANTS
Équipe > Natacha Castonguay / Marie-Pier Portier / Olivier Rivest-S / Valérie Loyer
Lieu > MONTRÉAL / Plateau mont-royal / rue de bullion

Dans le cadre du cours de problématique, nous avons décidé d’aborder un sujet qui nous tenait à coeur. Nous savons que dans la société actuelle, axée sur l’individualisme, nous portons peu attention aux gens qui nous entourent, dont les enfants. Par conséquent, nous ne sommes pas toujours enclin à prêter attention à ce qui ne nous concerne pas. Ainsi, il peut arriver que nous ne soyons pas à même d’identifier un enfant qui est victime d’abus dans notre entourage. Donc, nous avons fait une installation qui a pour but de sensibiliser les parents à ces abus. Nous avons choisi le parc afin de cibler les parents d’enfants d’âge scolaire. Notre intervention cherche à susciter une réflexion qui mènera à des discussions et à des prises de conscience. Notre installation consiste en une série de silhouettes d’enfants grandeur nature qui arborent des cibles. Elles sont peintes en rouge afin d’être facilement visibles et de capter l’attention des parents. Des affiches, situées à proximité des silhouettes, donnent davantage d’information sur la cause que nous dénonçons.
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ACCORDONS À L’ARBRE SA JUSTE PLACE
AU COEUR DE L’URBANITÉ MONTRÉALAISE
Équipe > Christopher Nicola / Karelle Savaria / Luis Trépanier / Véronique Vigneault
Lieu > MONTRÉAL / Plateau Mont-Royal : Des Érables, St-Joseph et parc Lafontaine

L’ARBRE EN VILLE ; UN COMPAGNON INESTIMABLE
Les arbres ont-ils leur place en ville ? Bien sûr que oui ! Colorant le paysage de nos rues, assainissant l’air que nous respirons, faisant obstacle au bruit et filtrant la lumière provenant des éclairages artificiels, les arbres rendent vivant notre environnement et contribuent, de façon exceptionnelle, à la qualité de vie de Montréal. Que ce soit par accident, par nécessité ou par simple plaisir, un grand nombre d’arbres sont abattus chaque année en milieu urbain. Dans le cadre du cours de problématique, nous avons choisi de nous prononcer contre ce que nous appellons la déforestation urbaine. Les répercussions négatives de ces actes passent souvent inaperçues car elles ne sont pas, pour la plupart d’entre elles, directement mesurables. Nous avons donc agi au moyen d’une campagne de sensibilisation promouvant l’importance des arbres au sein de notre vie urbaine. Pour ce faire, nous avons développé 3 installations interactives. Chacune d’elles prend la forme d’un faux tronc placé sur la souche d’un arbre coupé. Ce prolongement représente la perte de l’arbre qui vivait à cet endroit. Tel des feuilles, le nouveau tronc portera des sachets contenant les graines d’une des cinq principales espèces d’arbres retrouvées en ville : l’érable, le févier, le frêne, l’orme et le tilleul. Le public est invité à prendre un de ces sachets et ainsi faire sa part dans le remplacement des arbres perdus. On devine l’espèce d’arbre par sa feuille qui est illustrée sur le dessus du sachet. L’endos de chacune porte un message révélant un des nombreux bienfaits que nous apportent cette richesse urbaine.
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ITINÉRANCE
Équipe > Vincent Arnold / Ugo Varin-Lachapelle
Lieu > MONTRÉAL / Angus / Parc St-Émile

Parallèle entre certaines valeurs traditionnelles et la réalité des sans-abris, en cette période de festivités et de surconsommation, par le biais d'une crèche grandeur nature.
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ITINÉRANCE
Équipe > Sébastien Paradis / Léo Allaire / Didier Lerebours / Andreea Mocanu
Lieu > MONTRÉAL / Place des Arts

Dans le cadre du cours de problématique du design, nous avons décidé de travailler sur l’itinérance à Montréal. Sachant que se nourrir dans les poubelles est une réalité crue dans la vie des itinérants, nous avons utilisé quatre poubelles situées en ligne une après l’autre, sur la rue Saint-Denis. Chacune d’entre elles ont été transformées afin de communiquer par leur nouvelle apparence. Nous avons utilisé dans notre série des éléments visuels composés de blanc, de rouge et de métallique.
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QUI DOMINE
Équipe > Fanny Roy / Stéphanie Aubin / Selva Basingham /
Lieu > MONTRÉAL / Place des Arts

Dans le cadre du cours de problématique, nous nous sommes attaquées au développement urbain sur des sites naturels de Montréal. Depuis plusieurs années, la ville de Montréal ne cesse de se développer, mais, malheureusement, les espaces verts se voient de plus en plus menacés par son urbanisation. Récemment, la construction du Quartier des spectacles a engendré la coupe de 67 arbres situés dans un parc au nord-est de la Place des Arts. Lors de la conception de ce projet, nous nous sommes basées sur le principe de l’effet domino, soit un évènement isolé engendrant une réaction en chaîne d’envergure, afin de témoigner de cette problématique et de sensibiliser le grand public. Dans un premier temps, nous avons dénoncé le problème de la coupe abusive d’arbres avec une installation démontrant l’impact qu’a engendré la construction de ce lieu. Ensuite, nous avons réalisé une intervention afin de laisser le citoyen choisir entre des espaces verts et l’urbanisation.
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MUSICIENS DU MÉTRO
Équipe > Élizabeth Beaudoin / Valérie L'italien / Pierr-Luc Desharnais / David Tremblay
Lieu > MONTRÉAL / Métro Place des Arts

Intention de stimuler les passants à s'intéresser aux musiciens du métro par l'ajout d'une ambiance, d'un environnement visuel propre au spectacle. Redonner au musicien sa place et son identité aux yeux du public, par le biais d'une signalétique nominale.
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TOUT LE MONDE S'EN FOUT
Équipe > Aurélien Le Gall / Pier-Phillipe Rioux
Lieu > Montréal / Métro Jean-Talon / Ontario-Est / UQAM

Groupes d’étudiants - Groupes académiques
Notre objectif était de changer le monde, après reconsidération de nos moyens, nous avons décidé de prendre position face à une nouvelle génération rendue incapable de communiquer autrement qu’à grands coups de facebook et twitter. Nous sommes choqués par l’importance qu’ont pris ces nouveaux modes de communication dans nos vies au détriment des relations humaines directes. Nous proposons donc un parrallèle interrogateur entre vie réelle et virtuelle en important les codes visuels de la cyber-vie dans l’espace urbain. De ce fait, nous partîmes la fleur au fusil pour accomplir notre plan machiavélique qui consistait à tourner en dérision les futilités écrites sur facebook. L’âme des grands révolutionnaires de ce monde résonnait en nous lorsque nous posâmes courageusement nos bannières dans les miroirs du métro montréalais. La plèbe pût dès lors se voir dans les bannières facebook et constater ainsi l’insignifiance de certains propos qui abondent les réseaux sociaux. Nous remîmes ainsi les banalités de tous les jours à leur place, c’est à dire dans la vie réelle... Ainsi nous changeâmes le monde !
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EST-CE NÉCÉSSAIRE
Équipe > Marie-Laurence Carrière / Stéphanie Sansregret
Lieu > MONTRÉAL / UQAM

LES DÉPENSES INUTILES
Dans le cadre du cours de problématique, nous avons choisi de porter notre projet final sur l’argent dépensé inutilement. En visant les étudiants, nous avons créé de fausses factures en reprenant les termes bancaires pour les sensibiliser. Que ce soit pour le cellulaire (ex: 55$/mois pour texter des niaiseries avec ton cellulaire), la carte de crédit ou simplement les restaurants, les étudiants dépensent aisément, sans vraiment réfléchir. Alors, nous avons placé notre facture informative sur les guichets automatiques, de manière à ce que la personne manipule la feuille pour pouvoir y insérer sa carte. En voyant l’information avant de retirer, l’usager devra y penser deux fois. Cependant, il était très déliquat de photographier les gens aux guichets puisqu’il y aurait pu avoir un conflit en lien avec la fraude. Les gens n’étaient pas très réceptifs et semblaient agacés par la caméra. Le concept a perdu de son sens initial parce que nous devions demander la permission aux gens de les photographier avant même qu’ils aient vu notre projet. Chose qui nous a beaucoup embêté. Nous avons décidé de revenir à un projet plus ludique, plus amusant et surtout plus agréable, qui passerait un message tout en faisant rire les gens.
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NOËL ARTIFICIEL
Équipe > Marie-Laurence Carrière / Stéphanie Sansregret
Lieu > MONTRÉAL / UQAM

SURCONSOMMATION
Dans ce projet réalisé dans le cadre du cours design problématique, nous avons décidé de dénoncer la surconsommation et ce surtout pendant la période des fêtes. À chaque année, tous et chacun se laisse entraîner dans la roue de la consommation et sent le besoin d’acheter de plus en plus de cadeaux pour satisfaire les siens. Notre slogan : Noël Artificiel utilise l’ironie (avec les lumières) pour faire comprendre aux gens à quel point on s’éloigne des vrais valeurs qui jadis était le fondement même de la fête de Noël.
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JEUX DIVERS
Équipe > Alexandra Nasim / Teptévy Yith / Rodrigo Eguren
Lieu> MONTRÉAL CENTRE-VILLE / ANJOU

S'approprier l'espace urbain hivernal. Série de quatre pictogrammes invitants à la construction d'un fort, d'un bonhomme de neige, d'un ange, et d'une bataille de boules de neige. Signalétique.

DESCRIPTION DE NOTRE PROJET
L’arrivée de la première tempête de neige de la saison fait toujours beaucoup jaser ici à Montréal. On s’excite tous au début de l’hiver à l’idée de voir apparaître la neige pour la première fois depuis des mois, mais pour la plupart, l’excitation se discipe rapidement et se transforme en frustration. Dans le cadre du cours de Problématique, nous avons décidé d’intervenir à l’extérieur dans le but de faire sourir les passants en les invitant à se changer les idées pendant quelques minutes. Nous nous sommes inspirés des pancartes « pas de stationnement» que la ville introduit dans les bancs de neige pour prévenir que le déneigement s’éffectuera dans les jours à venir. Malgré qu’elles soient essentielles au déneigement rapide des routes, elles s’avèrent aussi emcombrantes car elles empêchent aux gens de se stationner dans leur « spot » habituel. De plus, beaucoup de cette neige se retrouve le long des trottoirs, voir même carrément dessus. Nous avons donc repris le concept des pancartes et avons créés des pictogrammes sur fond bleu ciel (couleur relaxe et zen!) qui font un clin d’oeil aux passants qui peuvent brièvement imiter les actions de ceux ci. Malgré les rues bloquées et les passages pour piétons serrés, nous voulons faire rappeller que la neige peut être amusante plutôt qu’encombrante! (Aucun panneau officiel ne fut déplacé ou endommagé lors de l’éxécution de ce projet)
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ZONE DE PLAISIR
Équipe > Alexandre S-Demers / Olivier Mercier C-K / Élizabeth Laferière
Lieu > MONTRÉAL / Centre-ville

Profitons de l’aménagement urbain glacé
Les trottoirs sont de véritables patinoires tout l’hiver à Montréal ? Et alors ? Nous avons créé la ZONE DE PLAISIR pour dénoncer ce manque d’entretien durant l’hiver. S’il vaut mieux en rire qu’en pleurer, ce projet a trouvé sa raison d’être. Nous avons remarqué que plusieurs citoyens se plaignent de ce problème du début jusqu’à la fin de l’hiver. Alors nous avons décidé de prendre action et de provoquer le rire. Cette intervention satyrique concerne à la fois le citoyen que la ville elle même. Elle dénonce, mais n’est pas lourde et moralisatrice pour ceux qui, comme nous, doivent composer avec la situation. Il y a déjà assez du manque de lumière saisonnier pour nous déprimer !
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HIVERVILLEÉquipe > Claudie grenier / Jean-Philippe Dugall / Julien DelBusso / Mathieu Daudelin-Pilotte
Lieu > Montréal

S'approprier l'espace urbain hivernal. Série de huit pictogrammes invitants au ski de fond, à la luge, à la raquette, etc. Signalétique.

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Équipe > Émilie Monteiro / Camille Leblanc-Murray
Lieu> Montréal

Sensibilisation pour fumeurs. Le cendrier qui tousse en a interrogé plus d'un!
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ALLO Y'A QUELQU'UN
Équipe > Marie-Éve Guidi / Amélie Verreault
Lieu > Métro Berri-Uqam / Métro Jean-Talon

Constat de ces 2 étudiantes issues du milieu rural, du manque de communication flagrant dans la ville. Ville sourde, ville muette. Installation invitant à dire bonjour, à questionner par le biais du téléphone-conserve, souvenir propre à l'enfance.
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RÉSERVATIONS
Équipe > Sarah Hegyesy / Jessika Brunner-Gnass
Lieu > MONTRÉAL / UQAM

DESCRIPTION DE NOTRE PROJET
Notre but dans ce projet était de communiquer différents problèmes présents dans divers pays. Pour ce faire, nous avons utilisé le concept de carton de réservation que nous voyons dans les restaurants en attribuant à plusieurs éléments une réservation au nom d’un pays. Chaque élément associé à un pays représentait pour nous un problème récurrent du pays.
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MURALE DE REBUTS
Equipe > Étienne Beaudoin-Vles / Christine Girard / Camille Bernier
Lieu > Montréal / arrondissement ville-marie

DESCRIPTION DE NOTRE PROJET
Création d’une murale communautaire dans laquelle les citoyens peuvent disposer de leurs rebuts. Réaction directe aux poubelles débordantes, ou absentes. La murale est composée de cordes élastiques tendues, dans lesquelles il est aisé de fixer des petits objets du quotidien tels que des gobelets de café, paquets de gomme, journaux, etc... Finalement, à l’aide de fil de chanvre, nous avons écrit murale de rebuts, afin d’identifier clairement à la fois le mandat écologique et le côté artistique du projet. L’administration municipale tente depuis quelques années de rendre la métropole plus propre et plus attrayante. Un plan d’action renouvelé chaque année(au coût de 56 m$) instaure des mesures s’inscrivant dans une politique de développement durable tel que l’accroissement des activités de propreté, la création d’un programme d’enlèvement des graffitis, déploiement de brigade de propreté et plusieurs autres projets spéciaux et ponctuels. Nous saluons la prise de conscience et l’effort de la municipalité, toutefois, nous jugeons que certaines mesures moins coûteuses et demandant davantage d’implication des citoyens pourraient être mises en oeuvre puisque la ville est malgré tout constamment parsemée de rebuts.
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LE JUSTE PRIX
Équipe > David Nguyen Ngoc / Felipe Mury B / Caron Guan / Josephine Sterling
Lien >MONTRÉAL / CENTRE-VILLE

DESCRIPTION DE NOTRE PROJET
L’objectif de ce projet était de conscientiser les gens au prix environnemental de leurs actions quotidiennes. En reprenant l’esthétique d’une étiquette de prix, nous désirions transmettre une statistique ayant trait à l’impact environnemental d’un objet que les gens pouvaient consommer régulièrement sous une forme originale.
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L’ESCALIER PICOTÉ
Équipe > Janilie Fleury / Audrey Bergevin
Lieu > ÉCOLE DE DESIGN DE L’UQAM / Montréal / Quartier Latin

DESCRIPTION DE NOTRE PROJET
Dans le cadre du cours de problématique, nous avons décidé d’encourager les gens à prendre les escaliers au lieu de l’ascenseur en transformant les marches en un jeu simple et connu : Twister. Nous avons collé des ronds jaunes, verts, rouges et bleus sur les marches de manière à créer des parcours. Deux roulettes (une en haut et l’autre en bas des marches) déterminaient la couleur qu’il fallait suivre pour monter ou descendre d’un étage. À travers cette intervention nous avons également motivé ceux qui prenaient déjà les escaliers, puisqu’ils étaient beaucoup plus attrayants visuellement. De cette expérience, nous avons pu recueillir des réactions variées et amusantes!
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SEMER LE BONHEURÉquipe > Marie-Ève Tourigny / Laurie Larue / Éléonore Josset / Sophie De Henau.
Lieu > MONTRÉAL / Centre-ville / Plateau

DESCRIPTION DE NOTRE PROJET
Nous avions envie de nous faire plaisir et de faire sourire les autres, semer le bonheur en quelque sorte. Nous sommes parties de l’idée que malgré nous, nous cherchions le mot, le compliment, l’encouragement, le petit quelque chose qui nous aiderait à passer une bonne journée.
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LA GÉNÉROSITÉ N'A PAS DE FRONTIÈRESÉquipe > Gabriel Jasmin / Justine Cloutier
Lieu > PARC-EXTENSION ET VILLE MONT-ROYAL / boul. l'Acadie coin Jean-Talon

Sur plus de 2km, une clôture sépare les arrondissements ; le plus pauvre et l’un des plus riches. Installée pour des mesures dites de sécurité, elle est synonyme de la distribution inégale des richesses. Intervention urbaine qui souligne l’importance de partager pendant le temps des fêtes et de participer à la guignolée.
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PARTAGEZ
Équipe > Karine Bernier / Simon Laliberté / Sarah Ouellet
Lieu > UQAM / 3E ÉTAGE DU PAVILLON DE DESIGN

DESCRIPTION DE NOTRE PROJET
«C’est dans le but de favoriser l’échange d’information entre les étudiants de design des différents groupes et niveaux, que nous avons conçu ce sympathique système d’affichage interactif. En cette ère digitale où une majorité d’étudiants extrapolent leurs états d’âme sur facebook et twitter, avec des gens des quatre coins du monde, nous avons choisi de faire bénéficier aux occupants du pavillon de design, qui ne se connaissent pas tous, un mode d’expression tout aussi collectif et accessible. Les étudiants ont la possibilité de poser des questions, de partager des découvertes, d’afficher leurs pensées et surtout, de répondre aux autres.»
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LA POLLUTION LUMINEUSE
Équipe > Yolaine Codjovi / Stéphanie Béneteau / Mélanie Wallace
Lieu > STATONS DE METRO / Préfontaine, Papineau, Beaudry, Berri-Uqam, Bonaventure, Peel et Mont-Royal

BRÈVE DESCRIPTION DU PROJET
« Où sont nos étoiles ? » « Lève la tête, tu vois bien qu’elles ont disparu du ciel ! »
«La pollution lumineuse est tellement dense qu’il est quasiment impossible de pouvoir observer les étoiles. Offrir aux Montréalais la possibilité de voir les étoiles à différents endroits dans la ville à l’aide d’installations. Ces points stratégiques forment une constellation : la Grande Ourse, composée de 7 étoiles. Ces différents endroits sont répertoriés sur une carte distribuée à la population. À défaut de les voir dans le ciel, ils peuvent les observer à n’importe quel moment à l’aide de la carte. Ramenons nos étoiles. Réduisons notre consommation de lumière. Ré-animons la poésie de notre ciel nocturne...»
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Équipe> Julien Rodrigue / Vincent Gravel / Guillaume Arbour
Lieu > MONTRÉAL / Quartier Latin

BRÈVE DESCRIPTION DU PROJET
Dans le cadre du cours de design problématique, nous nous sommes interrogés sur l’accessibilité à diverses ressources gratuites que le montréalais oublie souvent. En oubliant celles-ci, il finit par payer pour quelque chose qu’il aurait pu avoir gratuitement. Après tout, les meilleures choses de la vie ne sont-elles pas gratuites? Donc, nous avions comme intention, en apposant des étiquettes à plusieurs endroits clés, de sensibiliser les citoyens à leur environnement et ce qu’il leur offre.
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LA PYRAMIDE DE MASLOW (revisitée)Équipe > David Théroux / Jocelyn Blanchard / Vincent Gauthier / Julie Lépine
Lieu > CENTRE-VILLE DE MONTRÉAL

PROBLÉMATIQUE = SOCIÉTÉ DE SURCONSOMMATION
Dans notre société, tout s’achète, tout se vend. La consommation prend une place considérable dans nos vies. À l’aube du temps des fêtes, il est légitime de se questionner sur nos habitudes de consommation. Pouvons-nous justifier nos achats ? Le psychologue Abraham Maslow a établi une théorie qui se schématise en pyramide de besoins. Il est facilement possible de la transposer en pyramide de consommation. Les dépenses justifiées sont celles liées aux besoins essentiels : se loger, boire, se nourrir… L’objectif de ce projet est de conscientiser les gens gens à faire des choix responsables. Notre structure, d’une hauteur de 1,82 mètres s’impose aux passants sur une artère commerciale. Les réactions sont multiples, certains s’attardent sur notre proposition, d’autres s’en offusquent. Toujours est-il que l’objectif est respecté, nous avons su déranger les gens dans leurs habitudes.
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PARTAGE TON PARAPLUIE
Équipe > Catherine Plouffe / Ekaterina Kounioukova
Lieu > MONTRÉAL / Métro Mont-Royal

Système de partage de parapluies permettant aux gens d’emprunter un parapluie et le déposer après l’avoir utilisé pour les usagers du transport en commun qui attendent sous la pluie ou la neige, là où sont absents les abribus.
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