6.9.07

ART & ENERGIE RENOUVELABLE

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ART ET RÉALITÉ / UTOPIE DURABLE
C'est suite à une expo de l'Atelier van Lieshout, ayant pour titre et thème Slave City, ville fictive véritablement écologique où tout est recyclé (y compris les cadavres ), où il n’y a aucun déchet, la ville produisant toute l’énergie qu’elle utilise, que le journal The Guardian publiait une étude d’un professeur de Rockefeller University analysant l’importance de l’espace nécessaire aux énergies alternatives, avec des informations rares : fournir l’énergie nécessaire à la ville de New York, demanderait une surface de panneaux solaires grande comme l’Etat du Connecticut [12 000 km2, soit 24 fois l'île de Montéral], et espérer que le soleil brille. Il faudrait couvrir d’éoliennes tout le Texas et toute la Louisiane [780 000 km2] - soit chez nous le Manitoba + l'Île-du-Prince-Édouard -, et espérer que le vent souffle, pour fournir l’énergie électrique consommée par les Etats-Unis. Pour produire 1 watt, il faut 10m2 de terrain dévolu à un barrage. Chacun des 700 millions de véhicules existants nécessiterait entre 1 et 2 hectares de bio-énergie pour rouler. Etc..


Extrait de lunettes rouges [le Monde.]
Version intégrale [anglais] ________________________________________________________________

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